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 VEILLE MEDIAS SANGARIS parachutistes morts au champ d'honneur à Bangui

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Fombecto
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MessageSujet: VEILLE MEDIAS SANGARIS parachutistes morts au champ d'honneur à Bangui   VEILLE MEDIAS SANGARIS parachutistes morts au champ d'honneur à Bangui EmptyMer 18 Déc 2013 - 19:56

L'hommage aux paras de Castres, tués en Centrafrique

Publié le 17/12/2013 à 08:25, Mis à jour le 17/12/2013 à 08:43 | 25

Paris
VEILLE MEDIAS SANGARIS parachutistes morts au champ d'honneur à Bangui 201312171815-full
Le président de la République s'est incliné devant les deux cercueils des paras, hier aux Invalides./AFP
VEILLE MEDIAS SANGARIS parachutistes morts au champ d'honneur à Bangui Zoom
François Hollande a rendu hommage hier à Nicolas Vokaer et Antoine Le Quinio, les deux soldats du 8e RPIMa de Castres, tués en Centrafrique le 9 décembre dernier. Le Président a estimé que «l’honneur de la France» était de «s’engager» pour mettre fin à «des crimes contre l’Humanité».
Le président de la République François Hollande a rendu hommage hier aux Invalides au «sacrifice» des deux soldats français tombés une semaine plus tôt en Centrafrique, soulignant que «l’honneur de la France» était de «s’engager sans la moindre hésitation» quand des «crimes contre l’Humanité» étaient commis.
Les cercueils de deux soldats recouverts du drapeau tricolore avaient été portés jusqu’au centre de la cour des Invalides par leurs camarades du 8e régiment de parachutistes d’infanterie de marine (RPIMa) de Castres, au son de la Marche funèbre de Chopin interprétée par la Garde républicaine. Élevés au rang de caporaux et faits chevaliers de la Légion d’honneur à titre posthume par le chef de l’État, Nicolas Vokaer et Antoine Le Quinio étaient âgés respectivement de 23 et 22 ans quand ils ont trouvé la mort en Centrafrique. «Antoine et Nicolas sont allés jusqu’au bout de leur devoir au service de la paix dans un pays tombé dans le chaos, meurtri par les violences et ravagé par la faim et le dénuement», a déclaré François Hollande qui avait salué auparavant les familles qu’il devait ensuite retrouver dans l’intimité.
Les deux bérets rouges, a-t-il rappelé, avaient été déployés à Bangui dès le 5 décembre, au soir même du déclenchement par la France de l’opération militaire Sangaris, visant à rétablir la sécurité en Centrafrique.
Quatre jours plus tard, les deux jeunes soldats avaient été pris «dans des échanges de tirs au cours d’une reconnaissance dans les ruelles de la capitale centrafricaine», a rappelé le chef de l’État. Blessés et évacués vers l’antenne chirurgicale avancée déployée sur l’aéroport de Bangui, ils s’y étaient «rejoints dans la mort, en frères d’armes», a-t-il poursuivi.
Avant cet hommage officiel, un autre hommage, officieux celui-là, leur avait été rendu comme il est désormais de tradition quand des soldats français sont tués en opération, sur le Pont Alexandre III, face aux Invalides. Plusieurs centaines de personnes, dont de nombreux militaires et anciens combattants, se sont figées, parfois au garde-à-vous, quand le cortège funèbre a franchi le pont, à faible allure dans un silence total, précédé de motards de la Garde républicaine.
«Il y avait urgence à intervenir»
«Très concerné par la situation», un groupe de Centrafricains était venu également «soutenir les familles des deux soldats morts pour la paix». «Ils ont perdu la vie dans un conflit qui ne les concerne même pas», constatait tristement Serge Bozanga, en brandissant un petit drapeau de la Centrafrique. Le chef de l’État, qui s’était déjà recueilli mardi dernier devant leurs dépouilles, dans la capitale centrafricaine, a de nouveau justifié l’intervention française ; «Il y avait urgence», a-t-il insisté, rappelant que «plus de 600 personnes avaient été tuées en deux jours» et que «les affrontements confessionnels risquaient de dégénérer en un immense bain de sang».
«Quand des crimes contre l’Humanité sont commis, c’est l’honneur de la France, l’honneur de ses soldats, de s’engager pour y mettre fin et ceci sans la moindre hésitation», a-t-il conclu.


Les soldats français progressivement relayés
Le président de la République a, une nouvelle fois souligné hier que les forces françaises n’avaient «pas vocation à rester durablement en Centrafrique».
Les soldats français «seront progressivement relayés par la montée en puissance des forces africaines dont les effectifs vont doubler en quelques semaines pour atteindre 6 000 hommes», a-t-il précisé. Lorsqu’elles auront atteint «une taille et une capacités suffisantes, alors nous pourrons nous retirer», a ajouté François Hollande sans fixer de délai.
Quelque 1 600 soldats français ont été déployés en Centrafrique, officiellement en appui à la force africaine. Mais en attendant la consolidation de cette force, ils se retrouvent bien souvent en première ligne.
La Dépêche du Midi

_________________
« A la Grèce, nous devons surtout notre raison logique. A Rome, nos maximes de droit et de gouvernement. Mais à l'Evangile nous devons notre idée même de l'homme. Si nous renions l'Evangile, nous sommes perdus. » Maréchal de Lattre de Tassigny (mort le 11 janvier 1952).
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