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« ... Le devoir de mémoire incombe à chacun...rendre inoubliable. Ceux qui sont morts pour que nous vivions ont des droits inaliénables. Laisser la mémoire se transformer en histoire est insuffisant. Le devoir de mémoire permet de devenir un témoin... »
 
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 UNE PENSEE POUR UN HEROS

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SACCO83
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MessageSujet: UNE PENSEE POUR UN HEROS   UNE PENSEE POUR UN HEROS EmptyLun 11 Mar 2013 - 12:09

Il y a 50 ans, jour pour pour jour était fusillé au fort d'Ivry, le Colonel Bastien-Thiry. Ayez une pensée affectueuse pour cet homme qui n'a pas voulu salir son uniforme, salir son honneur d'officier et son nom.

Puisse t il vivre dans nos pensées jusqu'à notre propre mort.

Reposes en paix et que la Paix du Seigneur t'accompagne.
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MessageSujet: Re: UNE PENSEE POUR UN HEROS   UNE PENSEE POUR UN HEROS EmptyLun 11 Mar 2013 - 12:22

Bonjour sacco83

peux tu nous en dire un peu plus, je ne connais pas ce monsieur...
yohann
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MessageSujet: COLONEL BASTIEN-THIRY   UNE PENSEE POUR UN HEROS EmptyLun 11 Mar 2013 - 13:56

YOHANN a écrit:
Bonjour sacco83

peux tu nous en dire un peu plus, je ne connais pas ce monsieur...
yohann

Tu as 47 ans et tu es un ancien du 1er RCP ? et tu ne sais qui est le colonel Bastien-Thiry ?

Je t'invite à rechercher sur le web qui est cet homme, et revenir ici nous en parler. Car je suis incapable de proférer quoi que ce soit d'autre, à son sujet, sans risquer la censure !!
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MessageSujet: Re: UNE PENSEE POUR UN HEROS   UNE PENSEE POUR UN HEROS EmptyLun 11 Mar 2013 - 14:47




UNE PENSEE POUR UN HEROS Captur10



Jean-Marie Bastien-Thiry, dit Jean Bastien-Thiry, né le 19 octobre 1927 à Lunéville, aîné des sept enfants d'une famille lorraine de tradition militaire depuis plus de 300 ans — son père Pierre Bastien-Thiry (1898-1979) est lieutenant-colonel d'artillerie et son grand-père a servi comme capitaine de cavalerie —étudie à Nancy puis au lycée privé Sainte-Geneviève avant d'être reçu en 1947 à l'École polytechnique.

Diplômé de SUPAERO, il choisit d'entrer dans le corps des ingénieurs militaires de l'Air et se spécialise dans les engins air-air ; il est promu ingénieur militaire en chef de l'Air en 1957. Il c.nçoit le missile sol-sol Nord Aviation SS.10, (puis SS.11) utilisé par l'armée française de 1955 à 1962 et également en service dans les armées américaine (désigné MGM-21A) et israélienne (durant la crise de Suez en 1956).

De son mariage avec Geneviève Lamirand, fille de Georges Lamirand, secrétaire d'État à la jeunesse dans le gouvernement de Vichy de septembre 1940 à mars 1943, mais dont la famille a opté pour la France libre, il a eu trois filles : Hélène (née en 1955), Odile (née en 1957) et Agnès (1960-2007).

Lieutenant-colonel de l'armée de l'air, connu pour avoir organisé et dirigé l'attentat du Petit-Clamart, le 22 août 1962, dans le but d'assassiner Charles de Gaulle, président de la République, Jean Bastien-Thiry fut condamné par un tribunal d'exception, la Cour militaire de justice.

Jean Bastien-Thiry est passé par les armes par un peloton de sous-officiers français au fort d'Ivry, le 11 mars 1963. Il est le dernier condamné à mort à avoir été fusillé en France.

Selon Jean-Pax Méfret, le jeune Bastien-Thiry (âgé de 17 ans à la Libération) avait applaudi l'homme du 18 juin défilant à Metz.

Son père, fervent gaulliste, l'a renié, ne lui pardonnant pas d'avoir porté atteinte à la vie du général de Gaulle. Au dernier moment cependant ce vieil officier aurait écrit au président de la République pour implorer la grâce de son fils mais cette lettre arriva trop tard à destination. Postée le samedi, elle parvint au courrier présidentiel le lundi 13 mars 1963, quelques heures après l'exécution.
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MessageSujet: Re: UNE PENSEE POUR UN HEROS   UNE PENSEE POUR UN HEROS EmptyLun 11 Mar 2013 - 15:05

FOUQUET66 a écrit:



UNE PENSEE POUR UN HEROS Captur10


.........................

Lieutenant-colonel de l'armée de l'air, connu pour avoir organisé et dirigé l'attentat du Petit-Clamart, le 22 août 1962, dans le but d'assassiner Charles de Gaulle, président de la République, Jean Bastien-Thiry fut condamné par un tribunal d'exception, la Cour militaire de justice.

Jean Bastien-Thiry est passé par les armes par un peloton de sous-officiers français au fort d'Ivry, le 11 mars 1963. Il est le dernier condamné à mort à avoir été fusillé en France.

Selon Jean-Pax Méfret, le jeune Bastien-Thiry (âgé de 17 ans à la Libération) avait applaudi l'homme du 18 juin défilant à Metz.

Son père, fervent gaulliste, l'a renié, ne lui pardonnant pas d'avoir porté atteinte à la vie du général de Gaulle. Au dernier moment cependant ce vieil officier aurait écrit au président de la République pour implorer la grâce de son fils mais cette lettre arriva trop tard à destination. Postée le samedi, elle parvint au courrier présidentiel le lundi 13 mars 1963, quelques heures après l'exécution.[/size]


Faux : le Colonel a été fusillé par des sous off de la garnison de gendarmerie mobile basée à Satory. Aucun soldat d'aucune arme n'ayant voulu se "salir" par cette exécution sordide.

D'autres part, dans ce court exposé des faits, je ne vois pas exposées les raisons de cet engagement du colonel Bastien-Thiry. Lorsqu'on expose des faits, ils est convenable d'exposer les charges, mais également les faits à décharge. Ces derniers sont c.nséquents, et les occulter, c'est ramener les hauts faits de ce colonel au rang d'une mutinerie de bas étage.
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MessageSujet: Re: UNE PENSEE POUR UN HEROS   UNE PENSEE POUR UN HEROS EmptyLun 11 Mar 2013 - 15:47

Information pour la jeunesse de France:
Un refus d'éxecuter dans les faits.
Le lieutenant Degueldre fusillé par l'armée française en défendant l'ALGERIE FRANCAISE eu une terrible fin: atteint par une seule balle du peloton, l'adjudant chargé de "terminer le travail" mis plus de 10 minutes pour achever le blessé.
Pourquoi personne n'est intervenu?
Le fusiller blessé ne bénéficie t-il pas d'une grâce automatique?

Voir sujet traité ici dans notre forum


Quelles sont les punitions qu'encourent les militaires qui refusent d'intervenir dans le peleton ou qui tirent à coté comme dans le cas du lieutenant Degueldre?



_________________
« A la Grèce, nous devons surtout notre raison logique. A Rome, nos maximes de droit et de gouvernement. Mais à l'Evangile nous devons notre idée même de l'homme. Si nous renions l'Evangile, nous sommes perdus. » Maréchal de Lattre de Tassigny (mort le 11 janvier 1952).
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MessageSujet: Re: UNE PENSEE POUR UN HEROS   UNE PENSEE POUR UN HEROS EmptyLun 11 Mar 2013 - 17:59

Citation :
Tu as 47 ans et tu es un ancien du 1er RCP ? et tu ne sais qui est le colonel Bastien-Thiry ?

Je t'invite à rechercher sur le web qui est cet homme, et revenir ici nous en parler. Car je suis incapable de proférer quoi que ce soit d'autre, à son sujet, sans risquer la censure !!

Et bien non aucunes personnes ne m'a parlée de lui!!!

Trop jeune pour en avoir eu connaissance, la lecture de certains textes me fait comprendre la drôle de période qu'on dû vivre nos aînés!
bien triste

yohann
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MessageSujet: DEGUELDRE   UNE PENSEE POUR UN HEROS EmptyLun 11 Mar 2013 - 19:51

Fombecto a écrit:
Information pour la jeunesse de France:
Un refus d'éxecuter dans les faits.
Le lieutenant Degueldre fusillé par l'armée française en défendant l'ALGERIE FRANCAISE eu une terrible fin: atteint par une seule balle du peloton, l'adjudant chargé de "terminer le travail" mis plus de 10 minutes pour achever le blessé.
Pourquoi personne n'est intervenu?
Le fusiller blessé ne bénéficie t-il pas d'une grâce automatique?

Voir sujet traité ici dans notre forum


Quelles sont les punitions qu'encourent les militaires qui refusent d'intervenir dans le peleton ou qui tirent à coté comme dans le cas du lieutenant Degueldre?



Lui aussi a été fusillé par des gendarmes de Satory. Pour ces gens il était plus facile de cogner sur des manifestants, que de fusiller un type c'est certain. L'adjudant aurait dû être cassé de son grade, et toute l'équipe de corvée de Ch..tes pendant un mois. Il est impardonnable de tirer aussi mal. Selon le règlement militaire ça s'assimile à du "refus d’obéissance en service commandé". Théoriquement conseil de guerre. Dans les états dictatoriaux tout le peloton passait au poteau.
Ce ne fut pas une exécution, mais un assassinat. !!
J'ose espérer que notre ami Degueldre les a attendu les uns après les autres, au portillon d'entrée de Pierrot les grandes clés, pour les aiguiller vers un endroit bien chaud où ils ont certainement retrouvé des connaissances de l'époque.
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MessageSujet: HOMMAGE AUCOLONEL BASTIEN-THIRY   UNE PENSEE POUR UN HEROS EmptyJeu 21 Mar 2013 - 8:36

Le 11 mars, Mgr Molinas, vicaire général du diocèse de Fréjus-Toulon, a célébré une messe en la cathédrale de Toulon pour le Colonel J. Bastien Thiry, assassiné le 11 mars 1963. Il y a prononcé une homélie, dont voici quelque larges extraits :

« Il y a cinquante ans, un homme tombait sous les balles du peloton d’exécution. Nous savons, nous qui sommes réunis dans cette cathédrale, qui était cet homme et les raisons pour lesquelles il achevait prématurément sa vie dans les fossés du fort d’Ivry. Depuis cinquante ans des générations d’hommes et de femmes se sont succédées. Peu nombreux ont connaissance de ce drame qui a cependant marqué l’histoire de notre pays. Cette mort est intimement liée à l’agonie et à la mort d’une province française, l’Algérie, mais plus encore au refus d’accepter de voir la France renoncer à sa mission de nation civilisatrice dans le monde et particulièrement sur toutes ces terres lointaines où son génie avait permis un bond de mille ans en avant. Nombreux historiens, géopoliticiens, philosophes expliqueront que ce dégagement était inévitable et que le vent de l’histoire nous y obligeait fut­‐ce au prix d’un abandon dramatique des populations qui avaient cru, elles, en la France. Mais des hommes se sont élevés contre ce qu’il faut bien appeler une forfaiture, une trahison, et donnèrent leur vie pour ne pas faillir à la parole donnée. Et, parmi eux, il y eut Jean Bastien‐Thiry. Jeune lieutenant‐colonel, marié et père de trois petites filles, il n’hésita pas à sacrifier un avenir humain et professionnel prometteur, pour que la France ne se perde en succombant à « l’acharnement d’un très vieil homme ».

[...] Oui, Jean Bastien-­‐Thiry était un fervent chrétien, et cela depuis sa plus tendre enfance. L’amour du Christ l’avait tout naturellement ouvert à l’amour de sa patrie, la France. Ainsi, pétri par les pages de gloire de l’histoire de son pays et par le baptême qui marqua la France, il ne pouvait ignorer le drame qui se déroulait sous ses yeux, et dont il prévoyait clairement les c.nséquences désastreuses que non seulement la France mais aussi l’Europe auraient à endurer. N’oublions pas le contexte géopolitique existant alors : d’une part, l’idéologie marxiste diffusant ses mensonges et pénétrant toutes les couches de la société ; des centaines de pays dans le monde asservis à cette dictature habilement présentée comme l’avènement de la liberté et de la démocratie pour les plus pauvres ; la menace militaire des pays du pacte de Varsovie prêts à envahir le monde libre ; à l’intérieur la subversion, aux frontières les chars et les missiles. Et d’autre part, en Algérie et dans nombre de pays musulmans le réveil d’un Islam fait d’intolérance, de violences extrêmes et dont la volonté d’expansion dans le monde est clairement démontrée aujourd’hui. En 1963, l’indépendance de l’Algérie est déjà survenue. Le nouvel état algérien n’a tenu aucun compte des accords d’Evian qui devaient permettre aux différentes communautés de continuer de vivre sur cette terre. Jour après jour, les nouveaux maîtres du pays, hier encore terroristes sanguinaires mais qui, bien qu’au pouvoir, n’ont pas renoncé à leurs méthodes, bafouent ces accords. Des milliers d’européens sont enlevés, des centaines de milliers de harkis sont massacrés dans des conditions horribles, l’armée française encore 3 présente en Algérie, restant, sur ordre, l’arme aux pieds. Les églises sont profanées, les cimetières dévastés…Tout cela après la fusillade de la rue d’Isly à Alger, le 26 mars 1962, où l’armée française tira sur des hommes et des femmes qui revendiquaient seulement le droit de rester français sur une terre française, et le massacre horrible du 5 juillet à Oran.

La pureté de coeur et d’esprit de Jean Bastien-­‐Thiry ne pouvait accepter que la France continua de sombrer dans l’ignominie, après que, comme le déclara le Président du Sénat Gaston Monnerville, « la Constitution eut été violée et le peuple abusé ». Nous ne tenterons pas ce soir de découvrir le cheminement qui amena Jean-­‐Bastien Thiry jusqu’à l’attentat du Petit Clamart contre le président de la république, mais nous retiendrons comme certain que ce qui le conduisit jusqu’à cet acte, ce ne fut pas la haine de celui qui gouvernait alors la France, mais « la compassion pour les victimes » de cet homme, la volonté de « sauvegarder des vies humaines innocentes », et l’amour de la France dont il ne voulait pas que l’histoire fût irrémédiablement souillée.

La mort courageuse de Jean Bastien-­‐Thiry et de tant d’autres de ses compagnons qui ne se sont pas résignés à accepter le fatalisme d’une nation anesthésiée, nous amènent, cinquante ans après, à nous poser cette question : leur sacrifice a‐t-a‐il été vain ? On pourrait le craindre en constatant combien notre pays et l’occident chrétien en général semblent s’être détourné de leur destinée. [...]

Et pourtant, la foi et l’espérance ne doivent pas déserter notre vie. Il n’est pas possible que les sacrifices de tels hommes ne finissent par porter du fruit. Autant de souffrances, (je pense à l’indicible souffrance que connurent les proches de celui dont nous faisons mémoire, son épouse, ses trois filles alors encore enfants, de tous ceux dont un des leurs tomba sous les balles du pouvoir) autant d’abnégation engendreront un jour de nouvelles générations qui se lèveront, et se reconnaitront en ce frère ainé qu’est Jean Bastien-­Thiry. Animées par la foi, ils édifieront ce Royaume de lumière, de paix, de fraternité et de vérité que le Christ est venu instaurer sur notre terre. Et pour nous les Pieds-­Noirs, c’est un devoir de nous souvenir de la compassion de Jean Bastien-­Thiry pour notre calvaire. [...]

Avant de rendre sa belle vie à Dieu, Jean Bastien-­Thiry, heureux d’apprendre que ses camarades avaient été graciés, servit à sa dernière messe célébrée par l’aumônier. S’adressant au prêtre, il lui dit : « Mon Père, offrons cette messe pour qu’un jour redevienne possible l’unité des Français. » « Oui, mon Père, il faut qu’un jour les Français puissent être unis ! » Devant le peloton d’exécution « l’Homme a souri, et son visage a reflété un immense apaisement, une sérénité définitive. » Que Dieu sauve la France ! Amen »

Note de SACCO83 : La cathédrale était archi-bondée, avec la présence de nombreux drapeaux.
Je dédie tout spécialement au Colonel Jean Bastien-Thiry cet air composé par des soldats lors de l'opération "tempête du désert". Je rentre à la maison dit elle. Elle a été reprise depuis par le Canada, les États-Unis et la Grande >Bretagne pour honorer les soldats tombés en Afghanistan.

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