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« ... Le devoir de mémoire incombe à chacun...rendre inoubliable. Ceux qui sont morts pour que nous vivions ont des droits inaliénables. Laisser la mémoire se transformer en histoire est insuffisant. Le devoir de mémoire permet de devenir un témoin... »
 
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 LE BILOM

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junker
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ZITOUNE
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MessageSujet: LE BILOM   LE BILOM EmptyLun 23 Mai 2011 - 13:23

DES NEIGES DE RUSSIE AUX RIZIERES D’INDOCHINE

A la fin de 1943, Giorgio Lave a dix huit ans et choisit de s’engager dans la Légion des Volontaires Français contre le bolchevisme. Mais l’aventure à l’est tourne mal. Blessé sérieusement, il se replie et, en mai 1945, près de la frontière de hollande, se rend aux Anglais.
Lave est expédié vers la France, condamné à dix ans de travaux forcé, il est interné au camp de Struthof et accepte sans hésiter de ce porter volontaire pour l’Indochine.
Le 2ème classe Giorgio Lave fera parti du BILOM et un des premiers à être muté  en dehors de ce corps si particulier, pour devenir 1ère classe, chef du groupe mortier du 5ème BMEO avant d’en devenir chef de commando.
Il quitte l’Indochine après trois ans de séjour, avec la grade de sergent, plusieurs citations qui lui valent d’être réhabilité.
Affecté aux Bérets Rouges, il repart pour l’Indochine pour le GCMA et il en reviendra simplement parce que la France s’en allait.
Il a trouvé son clan, sa famille, c’est avec elle qu’il combat en Algérie et les parachutistes feront de lui un officier…

Mais qu’est ce que le BILOM ?

Des soldats français d’un genre particulier vont combattre en Indochine aux cotés du corps expéditionnaire. Ancien collaborateurs, engagés aux cotés des allemands sur le front russe, condamnés à la prison à la libération, ils sont libérés et expédiés en Extrême-Orient pour former le BILOM. (Bataillon d’Infanterie Légère d’Outre Mer)

La nécessité d’une relève.

Après la libération la France à reconstruire est tantôt bouleversée, tantôt paralysée par de puissants conflits sociaux quasi insurrectionnels. Le parti communiste n’ayant pu saisir le pouvoir à la libération tente de s’en emparer à partir des techniques éprouvées spécifiques du marxisme révolutionnaire. Il a su rassembler une partie importante de l’opinion, en particulier celle de l’intelligentsia dite libérale contre « la sale guerre d’Indochine »
Le corps expéditionnaire est essentiellement composé de volontaires et l’opinion se déchaîne contre eux. Ceux qui sont partis les premiers, vétérans des campagnes d’Europe, idéalistes, aventuriers avides d’action et d’évasion, individus écœurés par le climat moral régnant en métropole, aspirent au retour.
La nécessité d’une relève est évidente au début de l’année 1948, les engagements sont rares pour une armée mal payée, vilipendée par une partie de la nation, oubliée par l’autre.
L’Indochine est loin, la plupart des Français, préoccupés du quotidien préfèrent l’ignorer…
Une possibilité éventuelle de rachat.

Dans les premiers mois de 1948 le ministre de la défense et le garde des sceaux s’accordent pour procéder à un recrutement original. Quelques milliers de jeunes hommes croupissent dans les prisons. Ils ont fait le mauvais choix au cours des années de guerre : volontaires du front de l’est, engagés dans les organisations de collaboration ayant échappé à l’épuration sommaire de la libération, ils ont été souvent durement condamnés. Ils préfèreront sans doute mourir au soleil plutôt que de continuer à végéter lamentablement dans les geôles de l’Hexagone.
Parmi les tenants de l’idée certains estiment que ces prisonniers ont déjà suffisamment payé, d’autres pensent qu’il est bon de leur offrir une possibilité de rachat par un éventuel sacrifice, tous sont d’avis qu’il vaut mieux faire tuer ces hommes là plutôt que d’autres jeunes Français.
De toute manière il ne sera fait appel qu’aux « petits », aux sans grade de la collaboration, car il faut garder sous la main les ténors afin d’apaiser la soif de justice de certains partis politiques…

4000 volontaires.

Le 27 mai, André Marie, ministre de la justice, adresse aux directeurs de l’administration pénitentiaire, une circulaire pour connaître le nombre des détenus susceptibles de partir pour l’Indochine.
L’information propagée par l’efficace téléphone arabe des prisons, provoque diverses réactions. Certains se refusent à servir une république gaulliste alliée des soviets. « Nous battre contre le communisme! Mais c’est justement pour l’avoir fait que nous en sommes là! »
D’autres au contraire souhaitent reprendre le combat contre une idéologie exécrée. L’idée de rachat leur est étrangère, la plupart souhaitent prouver leur patriotisme, leur courage physique, avides de sortir de prison quelqu’en soit le prix. Malgré l’absence de précisions concernant l’avenir, près de 4000 volontaires se font inscrire. Ils savent seulement que la durée de l’engagement sera fonction de la durée de la peine restant à subir.
Les condamnés à des peines supérieures à 15 ans, ceux ayant atteint quarante ans ne peuvent être retenus.

Embarqué le 1èr novembre 1948

Les militaires sont pressés, le général Revers, chef d’état major de l’armée envisage la création d’une demie brigade à 3 bataillons, environ 2500 hommes, qui constituerait rapidement un renfort appréciable pour l’Indochine. Mais afin d’éviter de provoquer l’émotion d’une opinion publique sensible aux thèses du PCF, l’état major décide de procéder par étapes.
Le général Revers signe la note de création du 1ér BILOM constitué à partir d’ex détenus politiques, à effectif de 708 hommes de troupes, 109 sous-officiers d’active appartenant à l’infanterie coloniale. Conscient des difficultés à venir, il prescrit la mise sur pied à Fréjus, dans un premier temps et pour le 1ér août 1948, d’un petit état major de bataillon.
Le chef de bataillon Clausse, désigné pour assumer le commandement du BILOM, le capitaine Tap, futur responsable de la 1re compagnie, rassemblent 811 signatures d’engagement provisoires. Logiquement, le 1er BILOM pourrait être constitué.
Mais commission de grâce et administration pénitentiaire procèdent avec un lenteur qui touche à la mauvaise volonté. Le premier détachement en provenance du camp de Struthof, comportant 43 volontaires, ne parvient à Fréjus que le 21 octobre. Un second groupe de 70 hommes le 15 novembre, et 80 fin novembre.
Le retard est déjà considérable, la constitution des deux compagnies prévues et leur mise en condition de trois mois sont très compromises.

Ni drapeau, ni insigne.

Le capitaine Tap prend en charge la formation et l’entraînement de la 1re compagnie. Quelques informations complémentaires sont parvenues à Fréjus par fragments, tardivement, comme si le commandement répugnait à les transmettre. Cette unité composée d’ex-détenus, condamnés politiques, qui, par son appellation et sa conception, offre de nombreuses analogie avec les  bataillons d’Afrique « Bat d’Af » ou « joyeux », condamnés de droit commun de réputation douteuse, n’a sûrement aucun précédent dans l’histoire de l’armée française.
Le BILOM n’a ni drapeau ni insigne, ses volontaires ne bénéficient d’aucune permission avant leur embarquement. Leur avenir est conditionné, sans qu’aucune promesse soit faite, par leur comportement pendant la durée de leur engagement. Il n’y a pas de petits gradés dans la troupe, les engagés les trouvent dans leurs rangs.
C’est vrai que certains d’entre eux ont une expérience guerrière supérieure à celle de leurs cadres.
Normalement encadrée, au moins au plan des effectifs, équipée comme tout autre unité destinée à l’Indochine, la compagnie acquiert rapidement sa cohésion ; après les années d’épreuve les volontaires s’efforcent de prouver bonne volonté et compétence.
Le commandement soucieux d’éviter les éclats, décide d’embarquer d’urgence et le plus discrètement possible la 1er compagnie et l’état major. Ces éléments embarquent sur le Pasteur le 1er décembre 1948. Certains volontaires n’auront que quelques jours de présence à Fréjus. Quant à l’avenir, la même note précise que « 3 officiers, 10 sous officiers, resteront à Fréjus pour accueillir et instruire les détachements à venir. Ceux ci seront mis en route après un mois d’instruction, dès qu’ils atteindront l’effectif d’une compagnie. »
Pleins d’illusions ceux qui partent s’imaginent être l’élément précurseur d’un bataillon de choc destiné au sacrifice donc à la gloire, cette gloire qui leur a été refusée pour leurs exploits antérieurs.
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MessageSujet: Re: LE BILOM   LE BILOM EmptyLun 23 Mai 2011 - 13:25

Premiers pas au Cambodge.

Il y aura peut être une deuxième compagnie mais l’idée d’un vrai bataillon est abandonnée, pour ce qui est de la demie brigade envisagée par le général Revers il n’en sera jamais question. Le parti communiste et ses amis ont gagné, le Vietnamien n’aura pas à la redouter.
L’embarquement du BILOM sur le Pasteur se veut discret, il pourtant troublé par les représentants du PC et de la CGT, qui manifestent d’ailleurs à chaque départ de renfort pour l’Indochine.
A Saigon le 26 décembre, l’accueil du général Alessandri confirme aux volontaires qu’ils ne sont plus autre chose que des soldats français.  « battez vous bien, cela seul compte. »
L’affectation au Cambodge déçoit les hommes qui rêvaient d’en découdre, la guerre n’y est pas intense et les occasions glorieuses risquent d’être rares. Au passage à Phnom Penh, le BILOM perd son chef de corps et son état major. Le commandant Clausse, 2 officiers, 5 sous officiers sont affectés ailleurs : le capitaine Tap et sa compagnie gardent l’appellation du 1er BILOM, c’est en fait selon la terminologie militaire « une compagnies formant corps »
Les hommes deviennent les BILOM est fort bien considéré par le commandement, les unités et les populations du secteur de Kom-pong Trach. Depuis leur implantation dans les localités dont ils assurent la sécurité ses éléments participent à toutes les activités opérationnelles, nettoyage, protection des convois, interventions. Le BILOM subit ses premières pertes dans ces combats sporadiques. Le sous-lieutenant Parisot de Bernecourt, chef de section, est tué ainsi que le sergent Baratte et plusieurs soldats.
La compagnie Tap est devenue une unité opérationnelle parfaitement rodée et cohérente lorsque, le 17 mars, lui parvient l’ordre de mutation pour le Sud-Annam.
Le 23 mars 1949 la compagnie s’installe à Ba Ngoi dans le secteur de Nha Trang. Elle prend la place d’une unité rapatriable il échoit ainsi au BILOM la tenue de plusieurs postes isolés.

Accrochages au Sud-Annam




Le lieutenant Huérin prend les fonctions d’officier de garnison et l’officier de renseignement reçoit pour adjoint un volontaire qui très vite le remplacera totalement dans ses fonctions délicates. Le capitaine Tap et le lieutenant Ritzinger gardent, entre autres responsabilités, celle d’un commando d’intervention composé d’une cinquantaine de volontaires et de partisans Mois.
En raison de son aptitude à remplir les diverses missions, la compagnie est appréciée, devenant indispensable dans une région gangrenée par l’organisation viet et ses bandes armées. Combats et accrochages ne tardent pas causant plusieurs blessés chez les BILOM. Malgré l’activité intense et les résultats obtenus en quelques semaines, la situation ne satisfait guère ceux qui souhaitent donner une réputation héroïque à cette unité peu commune.

Des soldats à part entière.

Début mai l’annonce de la prochaine arrivée de la 2ème compagnie parvient à Ba Ngoi.
Elle s’est constituée lentement, par les volontaires lui parvenant par petits groupes de diverses centrales. Ils sont plus âgés que ceux de la 1ère compagnie dont la majorité provenait du camp du Struthof, camp de rassemblement des jeunes condamnés. Souvent ils sont plus éprouvés physiquement mais il y a chez eux de fortes personnalités, des hommes aux expériences humaines et militaires plus complètes.
Fin mars, le commandement ordonne la mise en route de 57 hommes avec la quasi totalité de l’encadrement. Ils embarquent le 6 avril sur le Compiègne, atteignent Saigon le 8 mai, Ba Ngoi le 17.
Puis de Fréjus, 5 sous-officiers, 24 hommes embarquent sur l’Abbeville et se présentent à Ba Ngoi le 17 juin.
Le 20 juin, les deux compagnies rassemblées à Khanh Hoa assistent à la remise des premières croix de guerre à une dizaine d’hommes. Le 1er juillet 1949 le commandement des troupes françaises en Indochine ordonne la dissolution du 1er BILOM et, à partir de ses éléments, crée deux unités baptisés CMSA, Compagnie de M arche du Sud Annam, la première aux ordres du capitaine Tap, stationnée à Ba Ngoi, la deuxième commandée par le capitaine Bégué, basée à Khanh Hoa.
Ainsi le délai d’épreuve fixé à un an par Paris n’est pas respecté. Au bout de six mois la preuve est faite que les volontaires du BILOM sont des soldats à part entière, reconnus aptes à servir dans n’importe quel emploi, dans n’importe quelle unité du corps expéditionnaire. Cela ne modifie en rien leur avenir juridique, toujours incertain, il n’est ni question d’amnistie, ni de réhabilitation mais le capitaine Tap en profite pour nommer des caporaux, promotion jusque là interdite par les dispositions initiales de statut du BILOM.

Actions sur les plateaux Mois

D’autres mutations individuelles sont imposées par les autorités locales qui savent disposer avec le BILOM d’un réservoir d’hommes aux bonnes connaissances techniques et d’un inépuisable dévouement.
A partir cette époque on trouvera des hommes du BILOM un peu partout au Sud Annam et sur les plateaux Mois.
Au cours de second semestre de 1949 quelques isolés sont expédiés par la métropole en Indochine au titre du BILOM. Le dernier volontaire débarque…seul en mai 1950. Officiellement le BILOM n’existe plus, Fréjus semble l’ignorer.
En décembre, les forces terrestres du Sud Annam et des plateaux montagnards, afin de faire face à la menace viet grandissante, créent 4 Bataillons de Marche d’Extrême-Orient (BMEO). Ces unités à base de recrutement local, sont pauvres en matériel, pauvres en personnel européens d’encadrement. Une fois de plus le BILOM est mis à contribution. Dans les unités montagnardes, les BILOM continuent leur combat, encadrant des tirailleurs locaux, tenant des postes perdus en brousse, isolés à la tête d’une poignée de partisans Mois. Ceux là vivront d’incroyables aventures, chefs de guerre de tribus primitives.
Nombre de ces volontaires seront blessés, laisseront leur vie dans des combats obscurs et meurtriers, ils n’auront pas la gloire qu’ils espéraient, aucun BILOM ne désertera ou ne sera accusé de lâcheté au combat.

La réhabilitation.

Au moment ou les premiers éléments du BILOM débarqués en Indochine arrivent en fin de séjour le lieutenant Ritzinger qui considère la 3ème compagnie du BMEO comme l’unité de tradition du BILOM, alerte la hiérarchie militaire. Ses hommes sont toujours sous le régime d’une grâce suspensive. En octobre 1950 plusieurs d’entre eux ont été nommés sous-officiers pour leur compétences et leur conduite exemplaire.
Or, ils sont toujours sous le coup des condamnations prononcées avec leurs conséquences: indignité, dégradation nationale, privation des droits civiques, interdiction de séjour… Plusieurs d’entre eux prolongent leur séjour en Extrême-Orient, d’autres rentrés en France restent dans cette armée qui les met à l’abri du monde extérieur; ils reviendront en Indochine, combattront en Algérie, y laissant parfois leur peau.
En janvier 1951 leur avenir est inconnu, ni la hiérarchie militaire, ni la machine judiciaire ne répondront à l’officier soucieux du sort de ses compagnons d’armes.
Le lieutenant Ritzinger est tué le 10 mars 1951 à Plei Djama, un coin perdu des plateaux Mois. Mais, comme si la démarche avait troublé quelque conscience administrative, des décisions de réhabilitation interviennent à partir de 1951, parfois dans des conditions étranges. Alors que certains dossiers sont rejetés sans explications ni motif, d’autres pour lesquels rien n’à été demandé parviennent aux intéressés par des cheminements compliqués.
Parfois le condamné est seulement amnistié sous réserve d’années de sursis…Il en est encore de nos jours qui sont des morts civiques malgré leurs blessures et leurs croix, non informés des démarches à accomplir ou s ’y refusant.
Aujourd’hui il ne reste de leur aventure unique qu’une plaque sur un mur du camp Galliéni à Fréjus. Elle porte les noms des morts du BILOM.






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MessageSujet: Re: LE BILOM   LE BILOM EmptyLun 23 Mai 2011 - 13:33

Merci pour cette belle page d'Histoire !

Les jeunes gens des LVF étaient du mauvais côté de l'Histoire.... Ils ont eu l'opportunité de se refaire une vie au sein du Corps Expédionnaire en Indochine, et pour certains de s'y tailler de fort belles carrières....
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MessageSujet: Re: LE BILOM   LE BILOM EmptyLun 23 Mai 2011 - 19:48

Je ne savais absolument rien de ce Corps Expéditionnaire formé dans les rangts d'ancien LVF ou autres ,je n'avait jamais cherché de ce côté dans le conflit Indochine Viéts ..
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MessageSujet: Re: LE BILOM   LE BILOM EmptyLun 23 Mai 2011 - 19:59

Certainement qu'il y a pas eu de "pub" à l'époque la guerre d'Indochine n'était pas populaire, c'est le moins que l'on puisse dire. Et puis après le vent de l'histoire balaye tout çà...sans aucuns remords.
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MessageSujet: Re: LE BILOM   LE BILOM EmptyLun 23 Mai 2011 - 23:00

Une page d'histoire de nos armées méconnue, merci Zitoune
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MessageSujet: Re: LE BILOM   LE BILOM EmptyLun 23 Mai 2011 - 23:07

On peut noter:
Citation :
Il n’y a pas de petits gradés dans la troupe, les engagés les trouvent dans leurs rangs.
C’est vrai que certains d’entre eux ont une expérience guerrière supérieure à celle de leurs cadres.
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MessageSujet: Re: LE BILOM   LE BILOM EmptyMar 24 Mai 2011 - 23:31

Merci pour ce récit. Je suis étonné de ce que j'ai lu, je n'avais jamais entendu parler de ces hommes qui méritaient d'être ici évoqué. Dommage qu'ils est été enfoui par le passé. Ils méritaient vraiment d'être rappelé à notre mémoire quelques fut leur parcour. Merci pour eux ZITOUNE.
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MessageSujet: merci pour le résumé   LE BILOM EmptyJeu 16 Aoû 2012 - 2:36

Merci pour votre résumé complet. A part le livre de Muelle "Le bataillon des damnés", il n'y a aucun info sur cette unité, dont a fait partie mon grand-père.
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tante ju
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MessageSujet: Re: LE BILOM   LE BILOM EmptyJeu 16 Aoû 2012 - 15:13

J'avais raté ce sujet très interessant.
merci Zitoune et également à "mémoire" de l'avoir relancé!

Citation :
Après la libération la France à reconstruire est tantôt bouleversée, tantôt paralysée par de puissants conflits sociaux quasi insurrectionnels. Le parti communiste n’ayant pu saisir le pouvoir à la libération tente de s’en emparer à partir des techniques éprouvées spécifiques du marxisme révolutionnaire. Il a su rassembler une partie importante de l’opinion, en particulier celle de l’intelligentsia dite libérale contre « la sale guerre d’Indochine »
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