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« ... Le devoir de mémoire incombe à chacun...rendre inoubliable. Ceux qui sont morts pour que nous vivions ont des droits inaliénables. Laisser la mémoire se transformer en histoire est insuffisant. Le devoir de mémoire permet de devenir un témoin... »
 
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 la FRANCE gène au Sahara

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AuteurMessage
claude millet
Fondateur
claude millet



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MessageSujet: la FRANCE gène au Sahara    la FRANCE gène au Sahara  EmptyLun 2 Aoû 2010 - 16:42

la FRANCE gène au Sahara  574c4831576b75473568414144633756?_RM_EMPTY_&politique&nicolas-sarkozy&internationalLa France gêne au Sahara

La décision de la France de s'impliquer directement dans le combat au
Sahara risque de se heurter à l'opposition de pays comme le Mali, et surtout l'Algérie.

la FRANCE gène au Sahara  151360_13844365_460x306
En laissant la France venir se battre au Sahara, l'Algérie craint de perdre sa position de leader. PH. AFP

La France s'engage sur un nouveau front. En envoyant la semaine
dernière une trentaine de ses soldats prendre part dans le désert malien
à un raid de l'armée mauritanienne pour retrouver l'otage français
Michel Germaneau - qu'al-Qaida au Maghreb (Aqmi) dit avoir exécuté le 24
juillet -, Paris signifie sa volonté de s'impliquer directement aux
côtés des pays concernés dans la lutte contre les combattants islamistes
qui sévissent au Sahara.

L'armée française est sans doute en mesure d'aider ses amis africains
à combattre plus efficacement la nébuleuse islamiste. Mais ces derniers
le voudraient-ils, tant les frictions entre l'Algérie, le Mali, la
Mauritanie et le Niger, sur les territoires desquels agit le groupe
djihadiste, sont nombreuses ?
La puissance régionale
L'Algérie, qui a le plus souffert des attaques de l'Aqmi, n'a guère
confiance en ses voisins. Non seulement elle doute de leurs capacités
militaires, mais elle soupçonne certains de leurs dirigeants de
complaisance à l'égard des islamistes. À l'égard du Mali, elle l'a même
publiquement signifié en février dernier en rappelant son ambassadeur
dans ce pays, à la suite à la libération par Bamako de quatre détenus
islamistes en échange de celle de Pierre Calmatte, un Français alors
détenu par des hommes d'al-Qaida. D'ailleurs, le diplomate algérien n'a
regagné son poste qu'hier.
Les voisins de l'Algérie ne manquent pas de reproches à son égard.
Tous l'accusent de vouloir diriger seul la lutte contre l'Aqmi. « Avec
les moyens dont ils disposent et l'expérience acquise en matière de
lutte contre le terroriste, les Algériens sont incontournables
aujourd'hui. Mais que ce soit eux ou un autre pays, personne ne peut
parvenir seul à gagner la bataille. Il faut non seulement une meilleure
coordination entre nos pays, mais une implication de nos partenaires
étrangers qui veulent bien nous aider », plaide un colonel mauritanien
impliqué dans la lutte contre l'Aqmi.
Alger se voit même accusé parfois de manque de sincérité dans son
engagement contre la menace terroriste. « Tout le monde connaît les
liens entre l'ancien GSPC et les services de sécurité algériens. Si ces
derniers ne sont pas derrière l'apparition de cette organisation, il est
au moins prouvé depuis de longues années que son existence lui est très
utile », accuse le journaliste mauritanien Ahmed Jiddou Aly, reprenant
une idée très répandue dans la région. Pour cet ancien officier
aujourd'hui converti en spécialiste des questions sécuritaires, «
l'Algérie utilise la menace terroriste à la fois pour justifier l'état
d'urgence qui prévaut dans le pays depuis les années 1990, ce qui sert à
couvrir le musellement de l'opposition, mais aussi pour conforter le
pays dans son rôle de puissance régionale face à des voisins faibles et
démunis. Laisser la France venir se battre au Sahara, c'est prendre le
risque de perdre cette position de leader. Si elle ne tente pas de
l'empêcher, Alger fera sans doute tout pour ne pas faciliter une
intervention militaire française », analyse le journaliste.
Pas d'opération commune
Les cellules djihadistes pullulent dans le Sahara, où elles
s'abritent, se déplacent et agissent au grand jour dans un vaste
territoire, grand comme la moitié de l'Europe.
La mise en place récemment d'un état-major coinjoint regroupant des
officiers de toutes les armées concernées, basé dans la ville algérienne
de Tamanrasset, a pourtant laissé croire à un changement du climat
général qui règne entre les pays de la région. Ce qui visiblement n'est
pas encore le cas. Aucune opération, pas même la moindre patrouille
commune, n'a à ce jour été menée par eux.
La vérité est que chaque pays a sa propre stratégie, comme l'illustre
le raid franco-mauritanien de la semaine dernière, décidé sans que
Nouakchott estime utile d'en avertir à temps ses voisins. Alors que le
principe de l'opération avait été arrêté lors d'une réunion tenue à
Paris le 13 juillet entre les présidents français Nicolas Sarkozy et
mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz, Nouakchott n'a communiqué
l'information qu'à la dernière minute, sans donner le moindre détail sur
l'opération.

Lemine OULD M. SALEM, à Nouakchott
1er août 2010
source SUD-OUEST
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