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« ... Le devoir de mémoire incombe à chacun...rendre inoubliable. Ceux qui sont morts pour que nous vivions ont des droits inaliénables. Laisser la mémoire se transformer en histoire est insuffisant. Le devoir de mémoire permet de devenir un témoin... »
 
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 BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959

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MessageSujet: Re: BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959   BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959 - Page 4 EmptyVen 2 Avr 2010 - 18:35

Bonnes nouvelles...!
Que St Michel protège notre général le plus longtemps possible .


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marion
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MessageSujet: etat de santé du general BIGEARD   BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959 - Page 4 EmptyVen 2 Avr 2010 - 20:36

que saint michel protège le géneral comme il l atoujours fait jusqu a présent.s il venait à nous quitter que saint michel l accepte auprès de lui.il aura tant marqué l histoire de l armée française.il nous a transmis les grandes valeurs que sont le courage ,l abnégation, le sacrificede soi, lavolonté et encore tant d autrs choses. personne ne pourra jamais oublier un homme d une telle envergure et d un tel charisme.tenez bon mon général et merçi pour tout ce que vous nous avez apporté.
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MessageSujet: Re: BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959   BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959 - Page 4 EmptyVen 2 Avr 2010 - 23:33

Très heureux d'apprendre que les nouvelles soient meilleures, bon courage mon général!
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MessageSujet: Le général Bigeard "va mieux" et sort aujourd'hui de l'hopital   BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959 - Page 4 EmptySam 3 Avr 2010 - 10:23

Le général Bigeard "va mieux" et sort aujourd'hui de l'hopital

Le général Marcel Bigeard, 94 ans, doit sortir aujourd'hui de l'hopital de Nancy où il était soigné pour deux phlébites. Il rentre à son domicile de Toul, où il continuera à recevoir des soins. Il "va mieux et son état général s'améliore. Son moral est excellent" assure le général Piquemal, président de l'Union nationale des parachutistes, qui s'est entretenu avec Gaby, l'épouse de Marcel Bigeard
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MessageSujet: Re: BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959   BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959 - Page 4 EmptySam 3 Avr 2010 - 22:33

Bon rétablissement;Mon Général,nous sommes de tous coeur a vos coté.
SALUTATIONS
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MDL
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MessageSujet: Re: BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959   BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959 - Page 4 EmptyDim 4 Avr 2010 - 18:13

Bonne nouvelle!!!. Remettez vous vite mon général...

Loïc
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MessageSujet: La   BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959 - Page 4 EmptyLun 19 Avr 2010 - 19:14

La "casquette Bigeard"

Le 3ème Régiment de parachutistes d'infanterie de marine est le seul régiment de l'armée française à pouvoir porter la fameuse « casquette Bigeard ».
La remise de cette casquette constitue un moment fort de la formation initiale des jeunes recrues. En effet, elle leur est remise par des cadres et les anciens du « 3 », au cours de leur troisième mois de classe après bien des efforts et vient récompenser les jeunes marsouins qui n'ont pas cédé devant la difficulté. Il est de tradition que cette cérémonie ait lieu au petit matin à l'issue d'une solide marche d'environ 30kms et selon un cérémonial immuable au cours duquel le capitaine commandant la 11 ème compagnie (actuellement le capitaine ROURE) reprend les mot du colonel BIGEARD lorsqu'il a présenté cette nouvelle coiffure à ses commandants d'unité en 1955, en Algérie :

« Voilà ce que vous êtes et voilà ce que vous allez devenir ».


source site officiel 3e RPIMa EMA
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fofor
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MessageSujet: Nouvelles du Général Bigeard   BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959 - Page 4 EmptyJeu 22 Avr 2010 - 19:16

Bonjour à tous



http://blog-unp.thionville.over-blog.fr/article-nouvelles-du-general-bigeard-de-unp-nationale-49055974.html



paramicalement
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MessageSujet: Re: BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959   BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959 - Page 4 EmptyJeu 22 Avr 2010 - 20:14

sacre Marcel c'est vraiment un très grand c'est des centaines comme lui qu'il faudrait pour la France

mes respects mon général je suis fier d'avoir servit sous vos ordre a Madagascar en 1973
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MessageSujet: De bonnes nouvelles du général Marcel Bigeard...20 avril 2010   BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959 - Page 4 EmptyJeu 22 Avr 2010 - 22:36

L'information circule, je crois savoir que qu elle vient de JC Houlné secrétaire du siège de l'UNP, merci Jean-Claude pour cette bonne nouvelle...






BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959 - Page 4 Bulletin_de_sant-_G-n-ral_BIGEARD
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MessageSujet: Message du Général Piquemal : Bulletin de santé du général BIGEARD   BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959 - Page 4 EmptyVen 23 Avr 2010 - 11:08

Le secrétariat de l'UNP nous adresse (les présidents de section) un message reçu ce matin du général Piquemal Président de l'Union Nationale des Parachutistes:


-------Message original-------

De : Michel Vial
Date : 23/04/2010 09:18:55
A : tous les présidents de section


Sujet : Message du Général Piquemal : Bulletin de santé du général BIGEARD

Bonjour à tous,

J'ai pu joindre téléphoniquement hier le général à son domicile pendant une dizaine de minutes.
Il a le moral et remonte doucement le courant. Mais il reconnait avoir été très secoué.
Les neurones tournent parfaitement et son intellect est agile. Côté jambes, il reste encore un peu faible.
Il continue à se battre avec courage, détermination face à cette baisse de santé.
Il remercie tous ceux qui lui ont témoigné soutien moral, assistance et voeux de rétablissement rapide.

Avec Jean-Claude Houlné demain nous allons le voir à Toul pour une visite en fin de matinée.
Nous lui transmettrons bien sûr le témoignage d'affection et de soutien de tous les membres de l'UNP

Fidèle amitié para.


CP Président national UNP


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MessageSujet: news from général Bigeard, c'est un roc...!   BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959 - Page 4 EmptyVen 23 Avr 2010 - 12:33

.Il va recevoir des visites notamment le général Piquemal, c'est dire si notre vétéran a repris la forme


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.
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MessageSujet: Re: BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959   BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959 - Page 4 EmptySam 24 Avr 2010 - 6:51

Bonjour:pour fofor,le lien sur le message d'origine a été modifié sur le blog de Thionville.Michel Deloffre.
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delreux
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MessageSujet: Bruno   BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959 - Page 4 EmptySam 24 Avr 2010 - 11:45

Mon général que Saint Michel vous protège
Prompt rétablissement
A/c Delreux (er)
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MessageSujet: Re: BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959   BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959 - Page 4 EmptyLun 26 Avr 2010 - 11:47

Le Président national de L'UNP informe ses Présidents de section à charge pour nous de rediffuser les bonnes nouvelles concernant la santé du général Bigeard...!

Messieurs les Présidents de section,

Veuillez trouver ci-joint le bulletin de santé du
général BIGEARD que le Général Piquemal et Jean-Claude Houlné ont rencontré
vendredi 23 avril à TOUL.

Bien cordialement,

Michel VIAL
Siège UNP

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MessageSujet: Re: BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959   BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959 - Page 4 EmptyLun 26 Avr 2010 - 11:52

bigre j'ai mis la même chose dans le post de FOUQUET66 et a la même heure desole quoi que il vaut mieux 2 rien
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MessageSujet: Des nouvelles et des photos du général Bigeard...! 25 avril 2010   BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959 - Page 4 EmptyLun 26 Avr 2010 - 11:53

Après la visite du général Piquemal et de Jean-Claude Houlné, de bonnes nouvelles du général Bigeard et des photos! ICI


Dernière édition par Claude Millet le Lun 3 Mai 2010 - 19:21, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959   BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959 - Page 4 EmptyMer 28 Avr 2010 - 10:22

Francaisdefrance's Blog

04/28/2010

“Adieu ma France” le livre testament du général Bigeard plus actuel que jamais…


Classé dans : Devoir de mémoire,Fièreté d'être Français,Le cave se rebiffe,Patriotisme,Pillage de la France,immigration,islamisation,racismen
anti-blancs,résistance — francaisdefrance @ 06:12
Tags: étrangers, chances pour la France, délinquance, dhimmitude,
diversité,France, identité nationale, immigration, invasion, islam
radical, musulmans,préférence non-nationale, provocation,
racisme anti blancs, résistance

Ca tombe extrêmement bien, ce billet…
FDF

“Adieu ma France… Tu n’es plus celle que j’ai connue, le pays du respect des valeurs, de l’hymne et du drapeau, le pays de la fierté d’être français. Adieu ma France des trafics en tous genres, du chômage, de l’islamisme, de la polygamie, du laxisme, de la permissivité, de la famille décomposée… Adieu ma France réduite à l’état d’urgence, ma France déconstruite, en guerre avec elle-même. Je veux, néanmoins, demeurer optimiste et croire en ton sursaut. Mais qui te sauvera ?

Le livre testament du général Bigeard
(…)Un homme qui saurait se mettre tout entier à son service, sans magouille, sans en retirer pour lui-même le moindre profit, mais qui se donnerait entièrement, et de façon désintéressée, au sauvetage du pays, à la relance de la France.”
Extrait de ” Adieu ma France “, du général Bigeard, Editions du Rocher
Constitution européenne
Ce texte, j’ai voté contre, parce qu’à mes yeux il ne répond pas à l’attente des citoyens de l’Union européenne. Je revois Chirac et Schröder, se tenant la main, se congratulant d’être les leaders de l’Europe. Or la France et l’Allemagne étaient malades. L’association de deux malades n’a jamais donné la santé !
Turquie
Pour moi, la Turquie est le prochain enjeu majeur de l’islamisme. La Turquie est une puissance en partie européenne, qui souhaite s’intégrer très rapidement à la construction politique qui lie vingt cinq États du Vieux Continent.
La Turquie, le rêve inespéré de tout islamiste. À contaminer de toute urgence ! Les grandes
manoeuvres ont d’ailleurs déjà commencé. On le sait, le parti au pouvoir à Ankara se définit comme ” islamiste modéré “. Je ne vois pas très bien en quoi consiste un islamisme qui serait ” modéré “, mais enfin passons.

La Turquie, c’est le cheval de Troie du fondamentalisme pour tenir l’Europe sous sa coupe,
pour faire peser sur notre continent une épée de Damoclès tellement efficace que les Européens préféreront une assimilation, lente et sournoise, à un combat qui ne semble plus à leur hauteur. Voilà pourquoi je m’oppose résolument, totalement, absolument à l’entrée de la Turquie dans l’Union européenne et même à l’ouverture de négociations
allant dans ce sens.

Parlons en, des “négociations” !
J’aimerais que l’on m’explique comment “négocier” avec un pays qui se refuse à reconnaître officiellement l’un des États membres de l’organisation dans laquelle il aspire à entrer. Je veux parler de Chypre, bien évidemment. Comment négocier avec un État qui se refuse tout aussi obstinément à reconnaître ses responsabilités dans le génocide qui décima les Arméniens en 1915 ? Et comment négocier avec un pays qui, le plus officiellement du monde, déclare qu’il entend rejeter l’héritage laïc d’Atatürk, le
fondateur de la Turquie moderne, pour lui substituer une constitution fondamentaliste ? Quand on me dit que la Turquie est ” mûre ” pour rejoindre l’Europe, cela me fait bondir.

L’Europe, je le crains, paiera très cher son aveuglement. Il est temps, grand temps d’arrêter
de jouer avec le feu. Et plus largement, prenons toutes les mesures d’urgence pour arrêter ce cancer de l’islamisme qui gangrène le monde.

Islamisme
Oui c’est sérieux ! Très sérieux même, car le voile n’est qu’une étape, la première, pour
imposer à la France, comme à tous les pays occidentaux, des conceptions qui sont radicalement étrangères à notre identité, à notre histoire et à notre culture.

On commence par le voile puis on risque de finir par accepter que certaines femmes adultères soient lapidées. À ce rythme on tolérera un jour la polygamie et, pourquoi pas, l’excision ! Eh bien, je prends le pari qu’en France, d’ici quelques années, les idolâtres du politiquement correct feront passer pour un acte de racisme insupportable le fait de refuser à des musulmans français ou vivant en France de s’adresser à des tribunaux
religieux, appliquant un droit à la fois moyenâgeux et inhumain.

Immigration
Si un immigré a, bien entendu, des droits, il a aussi des devoirs et l’immigré qui ne veut
pas s’intégrer à la culture de son pays d’accueil ne fait que scier la branche sur laquelle, pourtant, il veut s’asseoir. Je reviens sur ma consternation le soir du deuxième tour de l’élection présidentielle de 2002, lorsque j’ai vu une cohorte de jeunes des banlieues, issus de l’immigration maghrébine, brandir et agiter fièrement, place de la République, devant le couple Chirac, des drapeaux algérien et marocain.

Je reviens sur cet événement car cette image, en quelque sorte, résume tout. L’oubli du
patriotisme et la disparition de l’identité française. Le danger que fait peser sur l’avenir de notre pays le refus de s’intégrer de millions d’immigrés, ou de leur progéniture. La perte de prestige moral d’une fonction dont le titulaire devrait pourtant être au dessus de tout
soupçon. Et aussi, bien sûr, la confusion des valeurs dans un pays qui va à vau l’eau, que plus rien ne structure de manière cohérente, qui semble ne plus avoir d’avenir en tant que nation.

Je reviens également sur l’ascendant que prend, chaque jour un peu plus, l’islam dans notre pays, mais surtout l’islamisme. Qui aurait pu prévoir cela dans ma jeunesse ? Qui aurait imaginé le bouleversement de notre nation ? La nation est, pour moi, une idée essentielle, fondatrice dans la vie en commun d’un pays. On bâtit un État à partir d’un sentiment national, partagé par les habitants du pays considéré.
Terrorisme islamiste Arrêtons-nous encore sur le problème du terrorisme islamiste : L’Europe, l’Europe des 25, croit être une forteresse imprenable, tellement bien défendue qu’aucun danger ne peut la menacer. Elle est fière de sa puissance économique, de sa
richesse, du niveau de vie de ses habitants, de ses institutions politiques, des démocraties qui fonctionnent plutôt bien, même si évidemment beaucoup de choses sont perfectibles.

Eh bien l’Europe, ce colosse aux pieds d’argile, ce “tigre de papier ” comme diraient les
Chinois, se trompe. Elle est en guerre, déjà, mais elle ne veut pas le voir, elle ne veut pas le savoir. Elle se croit protégée, prémunie contre toute attaque et refuse de se confronter à la réalité des faits.

Or cette réalité, c’est qu’elle est encerclée, infiltrée. Une guerre sournoise de subversion
souterraine s’insinue un peu plus chaque jour. Pour ne pas en être conscient, il faudrait être aveugle ou stupide. Faut il rappeler le nombre de réseaux islamistes qui trouvent en Europe des bases arrière accueillantes et complaisantes ? J’en ai déjà parlé dans certains
chapitres précédents. Et si j’aborde à nouveau ce thème en fin de livre, c’est pour bien insister sur l’ampleur de ce danger car j’ai souvent l’impression que les Français ne veulent pas y prêter attention. Un peu la politique de l’autruche : on ne veut pas regarder
en face, la menace qui plane.

Repentance
La France est la risée du monde entier. Et parmi nos attitudes, pour le moins discutables, parmi les nombreuses ” repentances “, comme on jargonne aujourd’hui, la plus
récente vaut le détour.

C’était à Madagascar, un pays que je connais bien pour y avoir vécu lorsque je commandais les forces françaises de l’océan Indien. En visite officielle dans ce pays, en juillet 2005, Chirac a présenté les excuses de la France pour la répression musclée de l’insurrection de 1947, répression que je me refuse à qualifier de “massacres”. Cela donnait, dans le texte : “Il
faut évoquer les pages sombres de notre histoire commune et avoir conscience du caractère inacceptable des répressions engendrées par les dérives du système colonial. “

Mais pourquoi aller se coucher comme ça, alors que tout le monde sait qu’il s’agissait d’une autre époque ? Pourquoi éprouver le besoin de se repentir, quand les autres ne le font pas, quand les autres, de plus, ne l’exigent pas et comprennent mieux la situation que nous ne la comprenons nous mêmes ?
La réponse du président malgache Ravalomanana en est la meilleure preuve : ” C’est du passé. Je suis né en 1949, et non en 1947. Je pense à l’avenir. Ce n’est pas une source de blocage pour travailler ensemble. ” (…)
Réagir
Alors, la France est elle prête à l’affrontement ?
J’ai bien peur que non.
Et cela pour plusieurs raisons. La toute première, c’est que la France n’est plus une société homogène et structurée. Le corps social du pays n’est plus sain. Qu’est ce qu’un corps social sain ? Une population qui sait conserver la mémoire du passé et des combats collectifs qui ont été menés. Ce n’est plus le cas de notre pays. La transmission ne se
fait plus et les commémorations les plus solennelles font plutôt rire qu’autre chose.

Qu’il s’agisse de la fête nationale, le 14 Juillet, ou du souvenir des deux guerres mondiales,
le 11 novembre et le 8 mai, de la guerre d’Indochine, ou de celle d’Algérie, de moins en moins de Français se sentent concernés.

Je souhaite vivre encore dans une société française fière de ses racines et de sa spécificité.
Et ce n’est pas une question de couleur de peau. C’est une question d’état d’esprit, d’attitude. Aujourd’hui, défendre l’identité française vous fait souvent suspecter d’être un suppôt du Front national, ce qui n’est absolument pas le cas en ce qui me concerne. J’ai du respect pour un Le Pen, tout comme pour Arlette Laguillier parce que tous deux sont
adeptes de ma devise ” Être et durer “ !

La seule protection réellement efficace qui vaille, c’est de sortir la France de son inertie, de sa surdité et de son aveuglement.
Je ne cesse de l’écrire tout au long de ces pages, la France est entrée dans un processus de
déliquescence. J’ai l’impression tenace que, si le cours des choses ne change pas radicalement, le pays va à sa perte. Qu’il est en voie de désagrégation et que ce n’est pas son identité seule qui est menacée, mais bel et bien jusqu’à son existence. Et je le répète, sans craindre de lasser le lecteur, la France va traverser une crise très profonde, à
la fois politique, économique et surtout, morale.

C’est donc à un réarmement moral du pays que je veux appeler en rédigeant ces pages,
afin de conjurer la menace qui risque de nous engloutir corps et biens.
Je pourrais, sur les affaires, rédiger des livres entiers. Mais en résumé, que faut il retenir de ce constat ? Tout simplement que, pour sortir la France de sa torpeur, l’une des toutes premières conditions est de restaurer la morale publique dans le pays.


Morale publique sans laquelle rien ne peut être fait de durable, car les Français n’ont plus
confiance dans les hommes qui les gouvernent actuellement. Ils les prennent pour des margoulins et croient que ces responsables politiques pensent d’abord à eux, avant de se soucier du bien commun et du sort de leurs concitoyens.

Nos dirigeants doivent être des gens propres, irréprochables, ce ne sera qu’à cette seule
condition qu’on pourra au moins les écouter et les prendre au sérieux.

La démission est allée trop loin, dans tous les domaines, pour que la France n’ait pas besoin
d’un choc salvateur, susceptible de lui permettre de retrouver sa vraie vocation.


« Nous sommes dans la merde, mais ce n’est pas une raison pour la remuer. » [ Marcel Bigeard ]


Bigeard toujours … A (re)lire absolument :
J’ai mal à la France


Commentaires
Le 20 juin 2000, Louisette Ighilahriz, algérienne, membre du FLN, accuse dans les colonnes du journal Le Monde, les généraux Massu et Bigeard de l’avoir eux-mêmes torturée durant trois mois à la fin de l’année 1957.
Ce témoignage va lancer un grand débat sur ce problème longtemps tabou de la pratique par l’armée française de la torture durant la guerre d’Algérie.
Le général Bigeard, figure charismatique de cette époque, mis en cause personnellement, ne pouvait rester insensible à cette attaque. Profondément blessé, il fait ici les mises au point qui s’imposaient.
Après avoir démontré le grotesque des accusations portées contre lui, il nous explique comment la situation politico-militaire en Algérie a conduit à ce que l’on a
appelé la bataille d’Alger et nous donne sa vision de la guerre subversive que les soldats français ont été contraints de mener pour sauvegarder la population française et algérienne.

Enfin, dans un dernier chapitre il nous livre, à quatre-vingt-cinq ans, sa vision actuelle de son cher pays, ses espoirs et ses inquiétudes et nous explique pourquoi il a tellement “mal à la France”. Ce nouveau “coup de gueule” du premier soldat de France, avec son célèbre franc parlé et l’autorité que lui confère sa carrière exceptionnelle, ne peut que mettre un point final au déferlement médiatique auquel on assiste depuis quelques mois.


“Extrait de la Guerre d’Indochine 1945-1954


par Philippe Héduy” Citation du Général Bigeard

A cette époque où, selon mon indicatif radio, je devenais Bruno, je ne savais pas encore que nous vivions les plus belles années de notre vie. Les plus belles parce que les plus dures. Elles étaient aussi les années les plus amicales, les plus orgueilleuses, et les plus solitaires :
Les plus amicales parce que nous étions, à la vie, à la mort, entre camarades ;
Les plus orgueilleuses parce que jamais autant nous n’aurions la fierté de notre tenue et de
notre uniforme.

Les plus solitaires enfin, parce que nous menions en des terres lointaines un combat d’idéal, aussi ignoré de la métropole que celui des Croisés de la première croisade, il y a neuf cents ans, quand le moine Bruno, mon saint patron à la guerre, fondait l’ordre des Chartreux.
Oui, les camarades parachutistes, les solitaires parachutistes, les orgueilleux parachutistes étaient alors portés par un destin semblable à celui des Croisés ou à celui des moines, des moines guerriers, des Templiers.
Et j’imagine que, nonobstant l’armure, les chevaliers du Temple n’auraient pas été mécontents de sauter sur Jérusalem en arrivant du ciel, comme nous allions le faire tant de fois, de la RC 4 à la Plaine des Joncs, et de la Rue sans Joie à Ðiên-Biên-Phu.
Je crois que c’est en effet l’esprit – du moins un certain esprit, une certaine idée de nous-mêmes – qui nous permettait de nous manifester ainsi, au plus fort des combats. On sait contre quoi, contre qui nous combattions : Contre un monde opposé à celui de l’esprit. Et puis, il y avait en nous autant de secrète vigueur de venir au feu en tombant du ciel qu’en parcourant des lieues à travers la jungle, la rizière ou la montagne. L’esprit nous animait.
L’esprit, d’abord, du dépassement de soi. J’ai vu combien de garçons de vingt ans, ou même de trente, s’agripper à la carlingue et sauter dans l’inconnu mortel alors que, deux ou trois heures auparavant, ils se trouvaient encore à Hanoï dans l’insouciance ou les plaisirs de quelque lieu de détente ! Et j’en ai vu combien marcher sur la piste jusqu’à l’épuisement ou courir à l’assaut jusqu’à la chute ! Je le dis : une telle vigueur physique
n’est pas possible sans une ardeur morale. Jogging, certes, mais jogging avant tout du caractère et du courage.

Aller ainsi jusqu’au bout de soi, cela s’appelle l’abnégation, cela s’appelle l’esprit de sacrifice, et cela signifie que l’on défie la mort en combat singulier, la mort qui est autour de nous tous. Je les salue, mes camarades parachutistes qui l’ont rencontrée sans peur. Leur mort est à jamais notre mérite.
L’esprit d’équipe ensuite, l’esprit de camaraderie. On dira peut-être esprit de caste, de clan, de corps. Soit, si cela veut dire que l’on a la volonté d’être les meilleurs et que cela ne vous est pas donné par quelque grâce d’état ou d’uniforme.
Oui, nous osions espérer être les meilleurs, mais les meilleurs parmi nos égaux, nos frères
d’arme. Et, s’il y a caste du combat, clan de guerriers, si le parachutiste veut encore être aujourd’hui ce primus inter pares, c’est surtout à l’Indochine que nous le devons. Après la Bretagne ou la Hollande, avant Suez ou Timimoun, et aussi avant Kolwezi, il y eut l’Indochine : That Khé, Tu Lé ou Ðiên-biên-phu furent les creusets où se forgèrent l’esprit, la geste et la chevalerie parachutistes.

Esprit français enfin.
Cet esprit para qui devait jaillir du ciel d’Indochine, comme une corolle, a-t-on remarqué qu’il était particulièrement représentatif de ce que le soldat français a toujours eu de meilleur en comparaison de tous les autres ?

L’astuce et la fougue, l’audace et la furia francese, l’intelligence du combat, le sens du terrain, le flair du danger, le goût de la manœuvre, la souplesse de l’approche, tout cela qui rend le parachutiste français le plus para des aéroportés, là aussi ce primus inter pares parmi nos camarades du monde entier, tout cela naquit de la guerre d’Indochine.
J’ai souvent dit ou écrit, il faut “être et durer” ou encore ” faire un pas… encore un pas ”
et savoir repartir à zéro.

Le vieux soldat que je suis devenu essaie de continuer à servir en puisant certes dans son passé, mais en ayant le regard fixé sur ce que pourrait être demain, et où là comme ailleurs les paras qui furent toute ma vie sauront défendre une liberté qui n’a pas de prix.
Marcel BIGEARD
Pour commander ce livre


vu sur http://www.armees.com/Adieu-ma-France-le-livre-testament-du-general-Bigeard-a-relire-absolument,28390.html

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MessageSujet: D'un air dégoûté, le colonel Bigeard regardait la section de bidasses fagotés de treillis kaki tire-bouchonnés et tachés   BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959 - Page 4 EmptyVen 30 Avr 2010 - 16:06

Avec l'aimable autorisation de Monsieur Bertrand Robert auteur des plaquettes



Le commando Georges.


Secteur de Saïda, Algérie, 1959


http://uppix.3dvf.com/?v=04b.jpg


Le commando Georges.
Secteur de Saïda, Algérie, 1959

D'un air dégoûté, le colonel Bigeard regardait la section de bidasses fagotés de treillis kaki tire-bouchonnés et tachés qui rendaient les honneurs aux victimes de la dernière embuscade d'Oranie.
Trois katibas sous les ordres de Medjoub tenaient le secteur. Face à lui un brave colonel d'artillerie, une bonne tête à binocles, farouche partisan du pas d'***** avant tout. Moins on bougeait mieux ça valait.
Cette politique, partagée par un grand nombre d'officiers supérieurs d'un certain âge, avait donné des résultats catastrophiques.

Bigeard écoeuré, avait accepté le secteur, conscient du cadeau empoisonné qu'on lui faisait. Cette fois, il n'avait pas ses paras mais de bons bidasses du 8" R.I.M., des spahis, trois batteries d'artillerie et un régiment d'Algériens ! Mais ça lui plaisait, il allait en faire des troupes d'élite, prouvant une fois de plus que le contingent valait ce que valait son encadrement.
Les colonels classiques en boufferaient leur képi et détesteraient un peu plus cette grande carcasse de Bigeard moulé dans son treillis bariolé.

Et le grand cirque avait commencé. Avec ses capitaines et lieutenants à gueule de loup il avait fait son cross quotidien. Ensuite la piscine. Des gars avaient suivi. On leur avait donné des treillis ajustés, des blousons, des rangers. On leur avait expliqué la guerre.
Ilsn'avaient plus peur. En quelques semaines, avec beaucoup de démagogie mais aussi avec ce rayonnement étonnant qui en faisait un remarquable meneur d'hommes, Bigeard avait transformé les appelés de ce secteur.
On se répétait ses accrochages avec Alger pour obtenir du matériel, des tenues camouflées, des casquettes, bref tout son attirail.
Son insolence frénétique à l'égard de l'échelon supérieur ravissait ceux des sous-lieutenants qui l'avaient vu arriver d'un oeil sceptique.
Cinquante fois il avait mis sa démission dans la balance pour obtenir carte blanche. Et il avait gain de cause. Il fallait qu'on eût besoin de lui !

Son mépris des militaires classiques, ceux qui pensaient à l'avancement, aux relations, aux bananes sans se soucier des hommes qui, lors des accrochages, restaient sur le terrain, lui avait valu rapidement une popularité sans précédent parmi les troupes du secteur.
Une fois de plus il soignait sa légende. Le mess et ces colonels de***** lui sortaient par les yeux. Lui, c'est la guerre qu'il faisait.

D'un air dégoûté, le colonel Bigeard regardait la section de bidasses fagotés de treillis kaki tire-bouchonnés et tachés qui rendaient les honneurs aux victimes de la dernière embuscade d'Oranie.
Trois katibas sous les ordres de Medjoub tenaient le secteur. Face à lui un brave colonel d'artillerie, une bonne tête à binocles, farouche partisan du pas d'***** avant tout. Moins on bougeait mieux ça valait.
Cette politique, partagée par un grand nombre d'officiers supérieurs d'un certain âge, avait donné des résultats catastrophiques.

Bigeard, écoeuré, avait accepté le secteur, conscient du cadeau empoisonné qu'on lui faisait. Cette fois, il n'avait pas ses paras mais de bons bidasses du 8" R.I.M., des spahis, trois batteries d'artillerie et un régiment d'Algériens ! Mais ça lui plaisait, il allait en faire des troupes d'élite, prouvant une fois de plus que le contingent valait ce que valait son encadrement.
Les colonels classiques en boufferaient leur képi et détesteraient un peu plus cette grande carcasse de Bigeard moulé dans son treillis bariolé.

Et le grand cirque avait commencé. Avec ses capitaines et lieutenants à gueule de loup il avait fait son cross quotidien. Ensuite la piscine. Des gars avaient suivi. On leur avait donné des treillis ajustés, des blousons, des rangers. On leur avait expliqué la guerre.
Ils n'avaient plus peur. En quelques semaines, avec beaucoup de démagogie mais aussi avec ce rayonnement étonnant qui en faisait un remarquable meneur d'hommes, Bigeard avait transformé les appelés de ce secteur.
On se répétait ses accrochages avec Alger pour obtenir du matériel, des tenues camouflées, des casquettes, bref tout son attirail.
Son insolence frénétique à l'égard de l'échelon supérieur ravissait ceux des sous-lieutenants qui l'avaient vu arriver d'un oeil sceptique.
Cinquante fois il avait mis sa démission dans la balance pour obtenir carte blanche. Et il avait gain de cause. Il fallait qu'on eût besoin de lui !

Son mépris des militaires classiques, ceux qui pensaient à l'avancement, aux relations, aux bananes sans se soucier des hommes qui, lors des
accrochages, restaient sur le terrain, lui avait valu rapidement une popularité sans précédent parmi les troupes du secteur.
Une fois de plus il soignait sa légende. Le mess et ces colonels de ***** lui sortaient par les yeux. Lui, c'est la guerre qu'il faisait.
Et les résultats n'avaient pas tardé. Bigeard n'attendait pas les fells, il allait les débusquer. A son arrivée, le 2° bureau estimait à mille les armes de guerre aux mains des rebelles, lorsqu'il partira il ne restera pratiquement rien.

Bigeard n'épargnait personne. Il avait commencé par mettre au pas les gros colons de la région. Même régime pour tout le monde. Apprenant que de jeunes Européens de Saïda déclenchaient des bagarres en ville il les avait attendus avec quelques-uns de ses hommes, les avait arrêtés, puis comme ils étaient sursitaires les avait engagés d'office dans son fameux commando Georges , au grand affolement du sous-préfet car tous ces estimables jeunes gens étaient fils de colons importants ou de notables de la région.

Le commando Georges c'était tout Bigeard. Beaucoup de courage, beaucoup de cinéma, beaucoup de résultats.

Au printemps de 1958, las de la vie des maquis, Youcef s'était rallié mais faute d'encadrement de valeur et de politique suivie on l'avait laissé sans directives. Avec son équipe de harkis il était devenu un bandit de grand chemin, rançonnant, pillant, violant tout ce qui lui tombait sous la main. On avait fini par le mettre en prison à Tiaret où il se trouvait. Immédiatement, Bigeard et Grillot avaient fait sortir le bonhomme ainsi que sept autres fellaghas.



BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959 - Page 4 6b


Quelques semaines plus tard, le commando Georges comptait cent cinquante ralliés. Bigeard leur avait fait attribuer les meilleurs équipements, tenues camouflées recoupées, brêlages en toile et surtout des armes très modernes. Le commando était équipé de MAS 49 modifiés 56 et surtout de A.52, un fusil mitrailleur transformable en canon mitrailleuse.

Le « cirque » Bigeard avait trouvé là un terrain de choix. On faisait dans le médiéval. Le Camp du Drap d'or dans le djebel ! Les hommes couchaient dans des guitounes à l'entrée desquelles étaient plantés des étendards, ils ne défilaient que précédés de gonfanons en chantant le plus sérieusement du monde.

Grillot faisait régner une discipline de fer sur son com­ando divisé en sticks et non en sections. Il n'était pas rare de voir un de ses types, torse nu, attaché à un poteau et bastonné par ses compagnons.
Personne ne s'en mêlait. Au commando, tout se réglait en circuit fermé.
Le lieutenant rendait sa justice et avait sur ses hommes droit de vie et de mort. Avec de pareils éléments, connaissant tout non seulement du maquis, mais de la population, Georges Grillot démolit en quelques semaines l'O.P.A. de Saïda. Partant d'un collecteur il remontait toute la filière. C'était la bataille d'Alger en milieu agricole !
Mais surtout il découvrit le commando F.L.N. de Mohamed Cheikh, infiltré à Saïda pour semer la terreur dans la ville à l'occasion du 14 juillet.
Ayant obtenu l'information quatre jours auparavant, Georges lança ses hommes dans la fourmilière. Pour lui, pas à hésiter : ou on les attaque avant ou c'est le carnage. Un collecteur de fonds correctement interrogé finit par lâcher le morceau. Les hommes de Mohamed Cheikh s'étaient réfugiés dans une cache ouvrant dans un puits ! Il fallut donner l'assaut au half-track ! A titre de représailles, toutes les habitations du quartier furent livrées au commando Georges qui les pilla de fond en comble, puis par dérision fit défiler les rebelles survivants, Mohamed Cheikh en tête, en chemise, une corde au cou et un couteau entre les dents! Le chef rebelle, qui tentera de s'évader, aura le sexe dévoré par un chien du peloton cynophile, spécialement dressé.



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Récit de : Yves courrière

Commando GEORGES

Origine:


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Le Capitaine Grillot, ancien officier du 3è Régiment de Parachutistes Coloniaux du Colonel Bigeard avait persuadé celui-ci de le laisser créer, sous la forme d’un commando, une unité composée d'anciens tirailleurs, de jeunes engagés musulmans et d’ex-rebelles ralliés. Par la suite, l'effectif sera entièrement musulman. Celle-ci fut donc l’une des unités les plus singulières de l’Armée Française. Lorsqu’il fallut lui donner un nom, il proposa son prénom, ‘’Georges’’. Adoptant les mêmes méthodes de combats que les combattants des maquis du FLN, ces commandos seront d’une redoutable efficacité et deviendront célèbres dans tout l’Oranais. Au sein de Katibas, c’est ainsi qu’ils appelaient leurs compagnies, européens et musulmans combattaient pour le même idéal commun de l’Algérie Française, mais la politique ayant ses raisons, un grand nombre de ces soldats français disparaîtront dans des circonstances affreuses après la déclaration de l’indépendance, ayant cru aux promesses de ceux qui les avaient recrutés, tous et ensembles abandonnés par les autorités pour raison d’Etat. Inscrite sur leur fanion, leur devise était libellée ainsi : ‘’Chasser la Misère…’’.

Création: Année 1959
Arrivée en Algérie : Crée sur place à Saïda

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Actions/missions :
Contre-guérilla et participation aux opérations classiques de secteur.


Composition: Unité de choc dont l'effectif dépassera 300 hommes:

Lieutenant Youssef Adjoint au Capitaine

Commando 1 Mohammédi

Commando 2 Riguet

Commando 3 Bendida

Commando 4 Mahmoud

Commandements:

Capitaine GRILLOT Georges
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HORRENBERGER
confirmé
confirmé
HORRENBERGER



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MessageSujet: Photos du général Bigeard   BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959 - Page 4 EmptyDim 2 Mai 2010 - 16:56

Claude Millet a écrit:
Après la visite du général Piquemal et de Jean-Claude Houlné, de bonnes nouvelles du général Bigeard et des photos! ICI

Je n'est pas pu voir les photos!!!BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959 - Page 4 Icon_mad

C'est réparé!
CM
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Pérignon
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MessageSujet: Le Général Bigeard honoré...   BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959 - Page 4 EmptyLun 3 Mai 2010 - 18:40

" Un grand soldat mis à l’honneur : le général Marcel Bigeard a reçu le 29 avril 2010 le prix spécial de la Saint-Cyrienne pour l’ensemble de son œuvre littéraire. "
C'est ici (avec une vidéo, cliquer sur l'image ) :


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MessageSujet: Re: BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959   BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959 - Page 4 EmptyLun 3 Mai 2010 - 19:13

Merci Pérignon pour ta vigilance sur l'actualité parachutiste.
Cet évènement notoire méritait bien de ne pas l'oublier.
Belle contribution à CMP
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Philippe MULLER
Expert
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Philippe MULLER



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MessageSujet: Suite de la récompense à notre Illustre CHEF   BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959 - Page 4 EmptyLun 3 Mai 2010 - 21:12

Le général Bigeard récompensé
3 mai 2010 – 16:47

En mars dernier, l’état de santé du général Bigeard était d’autant plus préoccupant qu’il avait exigé son hospitalisation au CHU de Nancy.

Mais depuis sa sortie de l’hôpital, qui a « boosté son moral » pour reprendre les propos du général Piquemal, le héros de Dien Bien Phu semble avoir repris le dessus.

Ainsi, le prix spécial de la Saint-Cyrienne lui a été décerné, à son domicile de Toul, par le général Delort, le président de cette association d’élèves et d’anciens élèves de Saint-Cyr, pour l’ensemble de son oeuvre littéraire, commencée il y a maintenant plus de 50 ans.

« J’ai écrit 14 livres et 5 albums, ça fait beaucoup… » a déclaré le général Bigeard. « Je ne vois pas ce que je peux raconter, mais je peux encore raconter beaucoup de choses » a-t-il ajouté.
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Fombecto
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Fombecto



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MessageSujet: Re: BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959   BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959 - Page 4 EmptyMar 4 Mai 2010 - 0:13

QUELLE DIFFÉRENCE....300m en l'air, 300m sous l'eau dans un sous-marin à partager le café avec les sous-mariniers???

BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959 - Page 4 Bigear14
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Bertrand
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Bertrand



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MessageSujet: Re: BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959   BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959 - Page 4 EmptyLun 21 Juin 2010 - 17:23

Suite et fin du commando Georges:

BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959 - Page 4 13_b10

1/
Le 4 Avril 1962, RIGUET, BENDIDA, HABIB et SMAIN sont nommés sous lieutenant d’active au cours d’une émouvante cérémonie. On tente de forcer le destin, tout est fini, les hommes sont désarmés pour éviter toutes escalade.
2/
Camp du commando Georges Saïda avril 1962 : émouvante cérémonie et remise de Képi et grade au quatre Sous-Lieutenant, RIGUET, BENDIDA, HABIB, et SMAÏNE, par commandant GRILLOT. On tente de forcer le destin, tout est fini, les hommes sont désarmés pour éviter toutes escalade.
3/
Camp du commando Georges Saïda avril 1960 : cérémonie et remise de Képi et grade au quatre Sous-Lieutenant, SMAÏNE, BENDIDA, BRAHIM, RIGUET, par commandant GRILLOT.

Le 21, HABIB est enlevé puis exécuté.

Le 23, RIGUET et BENDIDA, rejoignent le FLN, on ne les reverra jamais, on chuchote dans les douars, qu’ils ont été dépecés vivants.

Le 24, SMAIN est convoyé en priorité absolue en hélicoptère, le soir même il est en France.

Le 28, GEORGES, directement menacé par le FLN et l’OAS décolle le dernier à bord d’une alouette. Entre temps le capitaine GREGOIRE a pu évacuer YOUSSEF.

L’indépendance proclamée, sur les 242 hommes que comptait le Commando GEORGES, 180 retourneront dans leurs foyers, la plus part finiront en prison ou exécutés, 8 seront incorporé au 8ème RI et 16 rapatrié en métropole. Au fils des années certains rescapés arriveront à rejoindre la France.

SMAIN quant à lui, reprend sa véritable identité. Malgré une dure réadaptation, il a poursuivi une belle carrière militaire dans diverse unité motorisé, puis affecté dans l’infanterie, le FLN retrouve sa trace et s’apprête à l’assassiner, il est alors muté au 8ème groupe de chasseurs.



BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959 - Page 4 12_b10



La guerre d’Algérie Une exigence de vérité
mardi 15 décembre 2009, par Claude GRANDJACQUES



Ce qu’a été la guerre d’Algérie ?




Il le faut pour rappeler que cette guerre a été un drame multiple pour la France et qu’elle l’est restée. Elle a été un drame parce que notre Nation, ou plutôt ses élites politiques, n’ont pas su l’éviter.

Elle a été un drame parce qu’elle a été menée de façon incohérente : après avoir affirmé et défendu le principe d’une Algérie qui resterait française, ce principe a été abandonnée au profit de celui de l’autodétermination qui menait à l’inéluctable indépendance.

Elle a été un drame parce que tant dans les rangs des forces de l’ordre que dans ceux de la rébellion, elle a imposé le sacrifice de lourdes pertes.

Elle a été le drame auquel le cessez-le-feu du 19 mars 1962 n’a pas mis un terme ; la communauté des « Pieds-Noirs » qui avait fait de la terre algérienne une terre moderne, mais dont certains membres portaient aussi leur part de responsabilité dans la genèse du conflit, a été acculée à l’exode ; nos compagnons d’armes les harkis ont été massacrés ; le sang de nos troupes a continué à couler.



Elle est restée un drame parce qu’un demi-siècle après sa conclusion, il ne semble pas possible de l’aborder de façon sereine.

À l’image de tous les conflits, le conflit d’Algérie n’a pas manqué de complexité mais le récit qui en est généralement fait, notamment dans le médias, met principalement l’accent sur ses aspects les plus violents. Et cela de façon unilatérale. Les appelés ne sont pas épargnés, accablés sous des appellations d’assassins, de violeurs, ou de tortionnaires.

Elle l’est restée parce que malgré une volonté évidente de réconciliation de la part de la France, elle sert toujours aux autorités algériennes de justification aux maux de l’Algérie, maux dont elles sont elles-mêmes responsables.
Hauteur Claude GRANDJACQUES

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