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  l'hypothèse d'une nouvelle baisse du budget de la Défense déjà réduit, au risque selon lui, de mettre en danger au-delà du tolérable la vie des soldats français en opération.

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Kéo
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Kéo



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MessageSujet: l'hypothèse d'une nouvelle baisse du budget de la Défense déjà réduit, au risque selon lui, de mettre en danger au-delà du tolérable la vie des soldats français en opération.    l'hypothèse d'une nouvelle baisse du budget de la Défense déjà réduit, au risque selon lui, de mettre en danger au-delà du tolérable la vie des soldats français en opération. EmptyVen 16 Mai 2014 - 15:01

Actualité >Le Parisien
Lille
 l'hypothèse d'une nouvelle baisse du budget de la Défense déjà réduit, au risque selon lui, de mettre en danger au-delà du tolérable la vie des soldats français en opération. Header-picto-rss
Défense: une baisse du budget dangereuse pour les soldats, selon une association d'anciens
Publié le 15.05.2014, 17h27


 l'hypothèse d'une nouvelle baisse du budget de la Défense déjà réduit, au risque selon lui, de mettre en danger au-delà du tolérable la vie des soldats français en opération. Picto-email
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Le président d'une association d'anciens militaires d'active a dénoncé jeudi l'hypothèse d'une nouvelle baisse du budget de la Défense déjà réduit, au risque selon lui, de mettre en danger au-delà du tolérable la vie des soldats français en opération.
"Le légionnaire Marcel Kalafut ne serait peut-être pas mort le 7 mai au Mali des suites de l'explosion d'un engin si son véhicule --une jeep P4-- avait été blindé", a affirmé à l'AFP François Pellegrin, président du Collectif des anciens volontaires OPEX (opérations extérieures), une association membre de la Fédération nationale Maginot des Anciens combattants.


L'armée ne manque pas de P4, a-t-il expliqué, mais "faute d'argent pour réparer la totalité du parc, il y a plein de véhicules en panne et donc on n'envoie que ceux qui marchent aux unités, même ceux qui ne sont pas blindés", a-t-il souligné, critiquant au passage ce qu'il appelle "du bidouillage".
Autre exemple, "le manque de moustiquaires pour les lits picot (pliants) des soldats opérant en Centrafrique, avec pour résultats des cas de paludisme et de dengue qui auraient pu être évités", a-t-il ajouté, disant s'appuyer "sur les témoignages fiables de camarades sur le terrain".
La réduction des moyens militaires "a provoqué une pénurie criante de moyens logistiques indispensables aux opérations", a poursuivi M. Pellegrin, en citant aussi l'acheminement de quantités insuffisantes d'eau aux soldats en opération en Afrique.
"Dans les pays chauds, il faut, en vertu des règles opérationnelles, 10 litres d'eau potable par jour et par soldat. Il faut l'acheminer par avion et camion citerne. Or les volumes actuellement acheminés ne fourniraient dans certains cas que trois litres et demi par soldat", selon M. Pellegrin.
"Le risque zéro n'existe pas pour des militaires. Nous acceptons de sacrifier nos vies. Mais envoyer des soldats sur des théâtres lointains sans un minimum de protection pour des raisons budgétaires, c'est révoltant", a lancé cet ancien sous-officier, pour qui "si le gouvernement n'est pas capable d'assumer ses décisions, parce que cela coûte de l'argent, il ne faut plus envoyer de troupes dans ces conditions".
Aujourd'hui aide-soignant à Abbeville (Somme), M. Pellegrin a achevé au grade de sergent-chef une carrière de 18 ans, pour l'essentiel dans les parachutistes et les chasseurs-alpins, au cours de laquelle il a participé à 16 missions en OPEX, y compris en Afghanistan.


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FOUQUET66
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FOUQUET66



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MessageSujet: Re: l'hypothèse d'une nouvelle baisse du budget de la Défense déjà réduit, au risque selon lui, de mettre en danger au-delà du tolérable la vie des soldats français en opération.    l'hypothèse d'une nouvelle baisse du budget de la Défense déjà réduit, au risque selon lui, de mettre en danger au-delà du tolérable la vie des soldats français en opération. EmptyVen 16 Mai 2014 - 15:09

Visiblement, cette affaire de possibles nouvelles coupes dans le budget de la Défense qui fait beaucoup parler ne date pas de dimanche dernier, jour où le député Xavier Bertrand, par ailleurs colonel de la réserve citoyenne de l’armée de l’Air, et, dit-il, intéressé depuis longtemps par les questions militaires, l’a mise sur la place publique.

En effet, le 6 mai dernier, un autre député, Christophe Guilloteau, a dit qu’il semblait que « Bercy souhaitait encore diminuer le budget de la Défense », lors d’audition du général Pierre de Villiers, le chef d’état-major des armées (CEMA), au sujet de l’avenir de la dissuasion nucléaire.

D’ailleurs, le CEMA a plusieurs fois abordé les questions budgétaires au cours de son intervention, pour insister sur le respect de la Loi de programmation militaire (LPM) 2014-2019, « cohérente mais déjà calculée au plus juste », qui implique une » vigilance de chaque instant ». « C’est la capacité de notre défense à protéger, dissuader et intervenir, entendue comme la réponse globale à des défis globaux, qui est en jeu, que ce soit sur les plans capacitaire, industriel et social », a-t-il fait valoir, affimant mesurer « la réalité de la pression budgétaire au quotidien ».

En outre, a ajouté le CEMA, « la LPM, en l’état actuel, nous paraît réaliste et pragmatique. Il n’y a pas d’arbitrage budgétaire, j’insiste, qui puisse être pris au détriment de l’agrégat nucléaire à court terme », lequel a été « réduit de près de 2 milliards d’euros sur la période de la présente LPM par rapport à ce qui avait été envisagé en 2008″. Aussi, a-t-il indiqué, « on ne peut pas aller plus loin car il en va de la crédibilité permanente de la dissuasion ».

Par ailleurs, et étant donné que la trajectoire de la LPM a été calculée « au plus juste » pour prendre en compte la nécessité de redresser les comptes publics, le général de Villiers a par ailleurs affirmé qu’il a déjà peu de marges de manoeuvres, les seules étant, sur les rémunérations, « le recrutement, le vieillissement des combattants, ou l’avancement, ce qui ne serait pas bon pour le moral des troupes ».

Quant aux infrastructures, a-t-il ajouté, « tout a été fait pour réduire les dépenses alors que les besoins sont grands ; les travaux dans les ports ont été retardés, par exemple ». Et en « matière de maintien en condition opérationnelle (MCO), nous avons fait tout ce qui était possible, notamment en prolongeant la durée de vie de vieux équipements ».

S’agissant des dépenses de fonctionnement, que le gouvernement entend réduire pour tous les ministères, les forces armées sont déjà allées au bout de ce qui était possible. « L’an dernier, nous avions tellement réduit les dépenses que le ministre a dû dégager 30 millions d’euros en catastrophe, au mois d’octobre, pour chauffer les bâtiments! Je ne crois donc pas que l’on puisse gagner encore sur le fonctionnement. Je n’ai rien contre les gains de productivité, mais à un moment, la corde casse! », a rappelé le général de Villiers.

« Vous connaissez nos choix budgétaires en matière d’équipement, et vous savez combien ils ont été douloureux.
Les hélicoptères interarmées légers (HIL) ont été repoussés à 2027 ! Les quelques programmes nouveaux qui doivent être lancés sont la seule marge de manœuvre. Je ne vois donc pas comment aller au-delà de ce qui a été fait », a-t-il encore déclaré devant les députés.

Et le CEMA, comme M. Le Drian, n’a pas manqué de souligner que la « la Défense a déjà beaucoup contribué à la réduction des dépenses publiques ».
Et de préciser que « nous aurons perdu 80 000 postes entre 2008 et 2018, et 40 milliards d’une LPM à l’autre! ». Et cela « est déjà un effort absolument considérable », a-t-il estimé, en disant ne pas oublier « qu’aujourd’hui, notre armée combat sur des théâtres dangereux ».

Aussi, a estimé le général de Villiers, « si l’on devait aller plus loin dans la réduction des dépenses, les c.nséquences seraient nécessairement importantes : les capacités opérationnelles seraient touchées, ainsi que nos capacités industrielles, ce qui entraînerait des pertes d’emplois ; enfin, la c.nséquence la plus inquiétante serait sociale, car les personnels auraient du mal à l’accepter ».

Cela étant, outre la perspective d’un nouvel « effort » des forces armées pour le redressement des comptes publics, le budget de la Défense est menacé par d’autres éléments. Comme par exemple le niveau encore très incertain des recettes exceptionnelles attendues pour 2015 (1,8 milliards à trouver), tirées principalement de la vente aux enchères des fréquences hertziennes 700 MHz de la télévision numérique terrestre (TNT) aux opérateurs télécoms (voir l’article de Zone Militaire du 23 mars dernier). Et encore, il faut croiser les doigts pour que les taux d’intérêt auxquels la France emprunte actuellement n’augmentent pas prochainement….

Sources: OPEX360
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http://www.legionetrangere.fr/
Pérignon
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Pérignon



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MessageSujet: Re: l'hypothèse d'une nouvelle baisse du budget de la Défense déjà réduit, au risque selon lui, de mettre en danger au-delà du tolérable la vie des soldats français en opération.    l'hypothèse d'une nouvelle baisse du budget de la Défense déjà réduit, au risque selon lui, de mettre en danger au-delà du tolérable la vie des soldats français en opération. EmptyVen 16 Mai 2014 - 22:00

Budget de la Défense : le tour de passe-passe socialiste

Citation :
Nos Armées sont de plus en plus engagées en Afrique et elles vont donc devoir disposer de moyens supplémentaires. Comme je l’ai expliqué et cartographié dans le numéro du mois de mai de l’Afrique Réelle, elles vont devoir impérativement tenir quatre verrous (Iforas, zone de la passe Salvador, appendice Cameroun-Tchad et région de Birao) pour tenter d’éviter la coagulation entre les conflits, pour le moment  éclatés, qui  se déroulent à la fois dans la zone sahélo-saharienne et dans l’arc de crise de l’Afrique centrale. Il va donc falloir  repositionner des forces et leur fournir le matériel adapté.
Or, et contrairement à ce qu’affirme le gouvernement et à ce qu’a encore déclaré le vendredi 16 mai le Premier ministre sur les ondes d’Europe 1, le budget de l’armée va encore  être amputé. Mais sans toucher à l’enveloppe globale !!!.
Le tour de passe-passe qui serait en préparation est expliqué dans l’entretien qui suit par Philippe Meunier, Député du Rhône et secrétaire de la Commission  de la Défense Nationale et des Forces Armées :

Afrique Réelle : Le gouvernement dément les « bruits » concernant de nouvelles coupes du budget de la Défense. De quelles informations disposez-vous, vous qui êtes Secrétaire de la Commission de la Défense ?

Philippe Meunier : Le gouvernement a laissé "fuiter" dans un premier temps une économie supplémentaire demandée à nos armées de 2 milliards puis quelques jours plus tard de 1,5 milliard. En fait, le gouvernement nous refait le coût de la loi de programmation militaire.

Afrique Réelle : C'est à dire ?

Philippe Meunier : C'est à dire qu'il laisse "fuiter" un certain nombre d'informations volontairement très alarmistes pour retenir au final une solution qui sera jugée moins douloureuse, mais qui sera tout aussi mortifère pour nos troupes.

Afrique Réelle : Le Président de la République et le Ministre de la défense se sont pourtant engagés à de multiples reprises au sujet de la sanctuarisation du budget dans le cadre de la Loi de Programmation Militaire (LPM)?

Philippe Meunier : C'est exact. C'est la raison pour laquelle je pense qu'ils vont procéder à "un tour de passe passe". Ils ne toucheront pas à l'enveloppe budgétaire prévue dans le cadre de la LPM, mais ils vont transformer les OPEX (Opérations extérieures) en bases prépositionnées sur l'arc sahélien. Or, il faut savoir que ces dernières ne sont pas financées comme le sont les OPEX par le budget général mais par le budget du Ministère de la défense.

Afrique Réelle : Nos Armées auraient donc toujours la même enveloppe budgétaire mais devraient faire face à des dépenses supplémentaires. Ce serait donc de l’enfumage.

Philippe Meunier : Une tromperie de plus.

Afrique Réelle : Mais, si tel était le cas, comment nos Armées arriveraient-elles à trouver les économies nécessaires pour financer ces nouvelles dépenses compte tenu des efforts déjà demandés par la LPM ?

Philippe Meunier : C'est la raison pour laquelle depuis quelques semaines l'actuelle majorité procède dans le cadre de la Commission de la Défense, à un certain nombre d'auditions au sujet de la dissuasion nucléaire afin de réfléchir à l' « utilité » de ses budgets. L'objectif dissimulé de ces auditions est aujourd'hui dévoilé : essayer de convaincre les parlementaires de la nécessité de diminuer notre capacité de riposte nucléaire.

Afrique Réelle : Pour quelle finalité ?

Philippe Meunier : C'est là où nous voyons la perversité de la démarche de l'actuelle majorité : placer  en permanence en concurrence nos Armées pour mieux les dépecer. Cette semaine, Cécile Duflot a proposé à la Commission de la Défense, de récupérer le budget de la composante nucléaire aérienne pour financer les missions humanitaires de l'Armée de Terre en Afrique.
Or, ce marché est le type même du marché de dupes car il aurait pour c.nséquence d'affaiblir considérablement non seulement nos forces aériennes qui utilisent à 60% les FAS pour des frappes conventionnelles, mais également notre dissuasion, et sans que ce transfert vers l'Armée de Terre ne règle pour autant la question du remplacement de nos équipements conventionnels.

Afrique Réelle : Quelles seraient les c.nséquences de cette politique ?

Philippe Meunier : Envoyer nos hommes au feu sans les équipements adéquats. Faire monter au feu des hélicoptères Gazelle non blindés et laisser nos hommes patrouiller avec des vieux P4 incapables de résister à la moindre mine au Mali et en Centrafrique est un véritable scandale moral et politique. François Hollande est dans la lignée de tous les gouvernements socialistes. Il demande sans cesse à nos Armées de faire la guerre, tout en diminuant leur budget.

Afrique Réelle : Qu'allez vous faire pour empêcher cette manœuvre qui, si elle était avérée, imposerait une diminution supplémentaire des moyens alloués à nos Armées ?

Philippe Meunier : Nous allons continuer à nous opposer au Parlement, alerter nos compatriotes sur la situation dramatique qui frappe nos Armées. Mais il serait  nécessaire pour ne pas dire impératif, que les hauts gradés alertent solennellement le Président de la République sur l'impossibilité qu’auront nos troupes de pouvoir mener à bien les missions qui leur sont demandées dans ce contexte budgétaire délétère.

http://bernardlugan.blogspot.fr/2014/05/budget-de-la-defense-le-tour-de-passe.html
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Bonnot
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Cecile Duflot est encore là?
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Pérignon
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Bonnot a écrit:
Cecile Duflot est encore là?

Citation :
Cécile Duflot siège à la Défense
Elle l'avait dit, elle y est : la commission de la Défense de l'assemblée nationale a gagné depuis peu
un nouveau membre, l'ancienne ministre écolo Cécile Duflot, qui a retrouvé son siège de député.

http://lemamouth.blogspot.fr/2014/05/cecile-duflot-siege-la-defense.html#more
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