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 Le musée de l'Armée à Paris rappelle ce que fut un siècle de présence coloniale française dans le pays. Sans jamais rien occulter.

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Le musée de l'Armée à Paris rappelle ce que fut un siècle de présence coloniale française dans le pays. Sans jamais rien occulter.  Empty
MessageSujet: Le musée de l'Armée à Paris rappelle ce que fut un siècle de présence coloniale française dans le pays. Sans jamais rien occulter.    Le musée de l'Armée à Paris rappelle ce que fut un siècle de présence coloniale française dans le pays. Sans jamais rien occulter.  EmptyDim 24 Nov 2013 - 18:08

Le musée de l'Armée à Paris rappelle ce que fut un siècle de présence coloniale française dans le pays. Sans jamais rien occulter.  Jean-guisnel-rub
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L'Indochine, une histoire moderne
Le Point.fr - Publié le 23/11/2013 à 13:51
Le musée de l'Armée à Paris rappelle ce que fut un siècle de présence coloniale française dans le pays. Sans jamais rien occulter.
Le musée de l'Armée à Paris rappelle ce que fut un siècle de présence coloniale française dans le pays. Sans jamais rien occulter.  Soldats-indochinois-sexercant-tir-mitrailleuse-2177905-jpg_1901246Photo d'illustration © DR
Par Laurence Neuer




Le musée de l'Armée poursuit son exploration de l'histoire, comme celle de la France et de ses anciennes colonies. Bien que le temps des passions extrêmes soit révolu, cette ambitieuse expérience muséographique et historique - ces voyages dans les histoires partagées d'une puissance européenne naguère conquérante et des peuples qu'elle avait soumis - nécessite doigté, subtilité, voire dextérité. Le tout n'étant pas incompatible avec une forme d'audace maîtrisée.

Le lieutenant-colonel Christophe Bertrand, conservateur au département contemporain du musée de l'Armée, décrit cette problématique en évoquant la présentation des objets et des documents ayant appartenu à "l'Autre", d'abord vaincu par la puissance coloniale avant de la contraindre à quitter son territoire : "L'Autre en tant que tel, partie prenante d'une histoire partagée qui s'inscrit dans un discours historique contemporain caractérisé par sa rigueur et son exigence d'objectivité, à égale distance du procès et de l'hagiographie." Cette phrase est extraite du catalogue de l'exposition temporaire en place au musée de l'Armée jusqu'au 26 janvier prochain, intitulée "Indochine, des territoires et des hommes, 1856-1956".

Nombreuses pièces inédites

Nous ne saurions trop conseiller à nos lecteurs de prendre quelques heures pour visiter cette remarquable exposition. Elle est brillante et claire, organisée savamment dans un grand respect des points de vue des parties, tout en n'éludant pas les points difficiles. Les amateurs y découvriront des pièces qui n'avaient pratiquement jamais été sorties des réserves des musées ou des collections privées, comme cette carte dressée par des missionnaires jésuites en 1650 qui présente pour la première fois une géographie précise de l'Annam et de la Cochinchine.

On découvre aussi l'original du Traité de Versailles entre Louis XVI et le roi de Cochinchine Nguyên Anh en 1787, qui attribue des possessions à la France en échange de sa protection militaire. Documents divers, vêtements de cour et de combat, mobilier, peintures et photographies, rien ne manque ! Des choix rigoureux ont été effectués, et des pièces magnifiques illustrent cent batailles, d'abord gagnées par les Français. Au bout d'un siècle de présence tumultueuse, la France fut sortie de cette partie du monde à l'issue de la défaite de Diên Biên Phu, de sinistre mémoire française.

Ouverture digne d'éloges

La vie quotidienne des colons et des autochtones, les productions agricoles, la santé, l'organisation civile de la colonie qui regroupait les territoires actuels du Vietnam, du Laos et du Cambodge, la lente constitution des forces indépendantistes qui allaient finalement gagner la partie sur le terrain militaire : on ne compte guère d'oubli. Y compris les débats qui se sont tenus en France durant toute la période concernée, notamment quand, au début de la IIIe République, Jules Ferry le colonialiste affronte son adversaire Georges Clemenceau, qui n'est pas encore rallié à ses positions.

Le visiteur découvrira cette exposition dans deux grandes salles dont les présentations témoignent d'une ouverture d'esprit digne d'éloges. Les moyens audiovisuels ne sont évidemment pas oubliés et les férus du septième art ne manqueront pas quelques minutes d'un petit film tourné par une équipe des studios Lumière en 1900, titré "Le village de Namo, panorama d'une chaise à porteurs". Car, attention, c'est un moment d'histoire : ce film présente le premier travelling arrière tourné au cinéma ! À noter que plusieurs événements sont organisés autour de cette exposition, notamment : 25 novembre, 13 h 45, conférence "Quitter l'Indochine (1945-1956)", par le professeur Hugues Tertrais, auditorium du musée de l'Armée.

Réservation : histoire@musee-armée.fr; 28 novembre, 20 heures, cathédrale Saint-Louis des Invalides : compagnie de danse Cabaret des oiseaux (Cambodge).
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