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« ... Le devoir de mémoire incombe à chacun...rendre inoubliable. Ceux qui sont morts pour que nous vivions ont des droits inaliénables. Laisser la mémoire se transformer en histoire est insuffisant. Le devoir de mémoire permet de devenir un témoin... »
 
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 MEMOIRE BRULANTE de la GUERRE d'ALGERIE

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5 participants
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claude millet
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claude millet



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MessageSujet: MEMOIRE BRULANTE de la GUERRE d'ALGERIE   MEMOIRE BRULANTE de la GUERRE d'ALGERIE EmptyLun 6 Fév 2012 - 15:52

Un envoi de notre camarade Cherchellien-CMP Jean-Marie CHASTEL

Pour info
Ci-dessous dans Valeurs Actuelles. Un article de Frédéric Pons.
JMC
Mémoire brûlante de la guerre d’Algérie
Frédéric Pons le jeudi, 26/01/2012
MEMOIRE BRULANTE de la GUERRE d'ALGERIE 2012_010

Le cinquantenaire de la fin de la guerre suscite une intense “bataille mémorielle”. La gauche avance sous le masque des bons sentiments.

A gauche comme à droite, l’année du cinquantenaire de la fin de la guerre d’Algérie ravive la “bataille des mémoires” et le souvenir douloureux des crimes de masse dont furent victimes les Français “de là-bas” et les harkis. « Cette année sera-t-elle, comme le fut 1995 pour nos compatriotes juifs, celle de la reconnaissance par les États français et algérien du génocide des harkis et de leurs familles, du massacre de milliers d’Européens d’Algérie et de soldats français ? », s’interroge Bernard Coll, secrétaire général de l’association Jeune Pied-Noir. Il organisait ce 24 janvier une réunion au Sénat pour présenter sa “convention candidat-rapatriés” qui demande aux candidats de s’engager à présenter un projet de loi de « reconnaissance de la responsabilité de l’État français ».

Une telle loi répond à l’attente formulée en septembre 1995 par plus de deux cents associations de Français rapatriés et d’anciens combattants d’Algérie. « Elle pourrait solder définitivement en 2013 la dette de la nation à l’égard des rapatriés spoliés », insiste Bernard Coll.

On n’en est pas là, mais cette communauté (3,2 millions de votants “pieds-noirs”, 800 000 voix de harkis) reste mobilisée et l’idée fait son chemin à l’Assemblée nationale.

Le député Élie Aboud, infatigable défenseur des pieds-noirs, et Renaud Bachy, le président de la mission interministérielle aux rapatriés, organisaient un colloque ce 25 janvier sur les réparations dues par la France et l’Algérie. À l’Assemblée encore, le 8 février, sera présentée la Valise ou le Cercueil, film bouleversant de Charly Cassan et Marie Havenel.

Cet intense travail de mémoire se poursuit, du 27 au 30 janvier, dans le cadre des Rencontres internationales du cinéma à Vincennes. Cette sixième édition, marquée par un débat sur la guerre d’Al gérie au cinéma, permettra de voir des documentaires remarquables et trop peu diffusé, comme Harkis, histoire d’un abandon (de Marcela Feraru) ou Harkis, les sacrifiés (de Taouès Titraoui et Bernard Coll). Ce film rappelle l’engagement devant la communauté des harkis du candidat Sarkozy, le 31 mars 2007, de reconnaître, s’il était élu, la responsabilité de l’État dans l’abandon et le massacre des harkis…

Dans cette bataille des mémoires, la gauche n’est pas en reste. Le 4 février, l’Association harkis et droits de l’homme et la Licra organisent un colloque sur “La tragédie des harkis : crime contre l’humanité ? ”. Sans procès d’intention, on peut déjà regretter le côté convenu des “débatteurs”. La plupart n’ont jamais caché leurs sympathies pour la révolution algérienne.

La gauche semble vouloir récupérer la cause des harkis !

De nombreuses associations se disent aussi choquées par le festival “La guerre d’Algérie, images et représentations”, organisé au Forum des images par la Mairie de Paris. « La majorité des films présentés font l’apologie du FLN », observe le général Maurice Faivre, historien trop souvent oublié par les “grands médias”. On cherche en vain la programmation de l’Honneur d’un capitaine, du Complot, des Centurions et de documentaires marquants comme Hélie de Saint Marc, Servir ? ou le Destin d’un capitaine. Souvent issus de la gauche, les conférenciers sont plutôt univoques. Le général Faivre le regrette : « Un débat ouvert entre des historiens de tendances différentes permettrait des avancées de la recherche historique. »

La gauche avance sous le masque trompeur des bons sentiments. Veut-elle faire oublier ses amis qui se firent les complices du FLN en portant sa propagande et ses valises d’armes ? Veut-elle effacer son silence sur la tragédie des harkis, massacrés au moment où des Français de gauche, appelés “pieds-rouges”, venaient conseiller le gouvernement algérien ?

Des organisations se disant “républicaines” préparent une offensive pour faire de la date du 19 mars la journée nationale de la fin de la guerre d’Algérie. Imposture totale : depuis un décret du 26 septembre 2003, après avis favorable de onze des douze principales associations d’anciens combattants, la date retenue est le 5 décembre. Pour ne jamais oublier qu’après le 19 mars, 75 000 harkis furent massacrés et près de 1 700 Français disparurent à jamais. Frédéric Pons

Le cinéma et la guerre d’Algérie, table ronde animée par Frédéric Pons, à Vincennes, le dimanche 29 janvier, à 16 h 45.
Photo © ECPAD
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bleu12
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MessageSujet: Re: MEMOIRE BRULANTE de la GUERRE d'ALGERIE   MEMOIRE BRULANTE de la GUERRE d'ALGERIE EmptyMar 7 Fév 2012 - 18:14

Citation :
La gauche avance sous le masque des bons sentiments.

_________________
"Nous avons eu l’impression d’être trahis, ce qui explique notre révolte" Commandant Hélie de Saint-Marc dernier Chef de Corps du 1er REP
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MessageSujet: Re: MEMOIRE BRULANTE de la GUERRE d'ALGERIE   MEMOIRE BRULANTE de la GUERRE d'ALGERIE EmptyVen 10 Fév 2012 - 23:26

Soyons vigilant.
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FOUQUET66
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MessageSujet: Re: MEMOIRE BRULANTE de la GUERRE d'ALGERIE   MEMOIRE BRULANTE de la GUERRE d'ALGERIE EmptySam 11 Fév 2012 - 15:24

J'ai lu ce que notre camarade Cherchellien-CMP Jean-Marie CHASTEL avait adressé à Claude Millet et je pense que le poëme d'André Agostini a bien sa place ici :

Mémoire et Poésie


Jadis j’ai dû m’enfuir de mon pays
Quand la France décida de lâcher l’Algérie
Et si avec le temps les plaies se sont fermées
Leurs cicatrices, elles, ne peuvent s’effacer.
Aussi pour mes enfants, je demande au Messie
Que jamais ils ne vivent une pareille tragédie.

Pourtant, lorsque je vois ces hordes de Magrébins
Envahir notre sol par n’importe quel moyen
Pour venir y chercher toute cette assistance
Qui n’existe plus chez eux depuis l’indépendance,
Quand je vois qu’ils acquièrent cette nationalité
Qu’ils ont pourtant reniée il y a quelques années

Je me pose une question qui me met mal à l’aise,
Combien de temps encore la France sera Française ?
Ils occupent tour à tour l’ensemble des quartiers
Où la police alors n’a plus le droit d’entrer,
Bien vite ils les transforment en ces fameux ghettos
Où ils pillent les commerces et brulent les autos.

Marseille est devenu une base d’Al-Qaïda
Et notre canebière le souk d’une casbah.
La banlieue parisienne n’est pas plus épargnée
Partout règne le racket et l’insécurité.
Les seuls européens qui s’obstinent à rester
Doivent se barricader sitôt la nuit tombée.
Des cités toutes entières leurs sont abandonnées
Dans l’attente qu’ils obtiennent les clefs de l’Élysée.

Lorsque notre président, en quête de bulletins
Va leur rendre visite, la veille des scrutins
Ils bousculent sa voiture et crachent sur son costume
Et l’obligent à partir plus vite que de coutume.
Ils sifflent la Marseillaise au match de l’amitié
Et brandissent les drapeaux du pays invité.

Puisqu’ils peuvent posséder deux nationalités
Ils en changent à leur guise, suivant leurs intérêts
Pour les allocations, ce sont de vrais français,
Pour les obligations ils restent des étrangers.
Ils respectent qu’une seule loi celle des islamistes
Et suivent assidument la mode des intégristes,

Elles se coiffent du foulard, ils portent la barbouze
Et pavoisent leur logis aux couleurs des fellouzes
Depuis quelques années ils sembleraient vouloir
Que la France se décide à réécrire l’histoire.
On enseigne pour se faire à notre descendance
Que les pieds-noirs étaient des colons de la France

Qu’ils n’avaient pas de cœur et usaient d’un gourdin
Pour payer les salaires de chaque Magrébin.
Aujourd’hui les médias demandent à nos élus
Qu’une enquête soit faite sur ces moments vécus
Pour voir si notre armée a commis des bavures
Et condamner ceux qui pratiquaient la torture

Pour que ces terroristes veuillent leur divulguer
La liste des attentats qu’ils devaient perpétrer.
Vouloir faire des victimes de nos ex-assassins
C’est en sorte approuver les crimes et les larcins
Qu’ils ont commis jadis sur ces gens innocents
Qui voulaient conserver la terre de leurs parents.

Somme-nous tous amnésiques pour avoir oublié
Combien les F.L.N. ont fait d’atrocités ?
Serions-nous insensibles à tous ces attentats ?
Qui ont été commis par ces vils fellaghas
Et devons-nous ce jour, pour des raisons d’état
Pardonner les tueries de leur chef Ben Bella !

La bombe de la Corniche, ou celle du Milk Bar
Et ces assassinats empreints d’actes barbares
Ces femmes étripées aux ventres empierrés
Tout près de leur fœtus qui était empalé.
Ces milliers de Harkis qui furent assassinés
Sur la place publique sans le moindre procès

Trahis et délaissés par le chef de la France.
Ils ont subi la mort dans d’atroces souffrances.
Ils furent même désarmés avant l’indépendance
Afin qu’ils n’opposent pas la moindre résistance
Aux couteaux des tueurs qui étaient impatients
De pouvoir leur donner le suprême châtiment.

Aurions-nous oublié la date du 5 Juillet 1962
Et les massacres commis après le cessez le feu ?
Ces centaines d’Oranais qui furent exécutés
Devant l’armée française restée les bras croisés !
En France, dans nos écoles, aucun livre d’histoire
Relate ces évènements vécus par les pieds noirs

On transforme le passé à la gloire des vainqueurs
Qui deviennent des martyrs à la place des tueurs
Oublier notre passé ou même le transformer
Serait une grave erreur qu’on pourrait regretter
Ne baissons pas la garde, redoublons de méfiance
Si nous ne voulons pas connaitre un jour en France

Une prochaine débâcle vers d’autres horizons
Ou vouloir accepter de changer de religion.
Ben Bella l’avait dit, après la prise d’Alger
« Nous devons remonter en France jusqu’à Poitiers ».
Hélas cette latitude est maintenant dépassée
Puisqu’aucun coin d’Europe ne se trouve épargné !

A moins d’un revirement rapide et énergique
La France deviendra vite république islamique
Par le nombre des naissances ils auront l’avantage
Qui leur fera gagner l’ensemble des suffrages
Ainsi sera mis fin à notre démocraties
Et la France à son tour deviendra colonie.

Alors sera troqué l’angélus des clochers
Par l’appel des imams en haut des minarets
Dès lors, pour survivre, de même que nos aïeuls,
Nous aurons à choisir « la valise ou l’cercueil »
Les exemples sont nombreux et faciles à citer
Sur toute la planète, nombreux sont les foyers

Où des familles entières furent exterminées
Pour le simple prétexte qu’elles avaient refusé
D’accepter les contraintes de ces jeunes républiques
Qui instaurent par la force la charia islamique.
Aussi la prochaine fois, lorsque vous serez appelés
Pour vous rendre aux urnes afin d’aller voter
Devenez l’électeur d’un second Charles Martel
Qui renverra chez eux, au fond de leur djébel

Ceux qui viennent chez nous pour y défier la France
En réclamant sans cesse encore plus d’assistance
Afin que vos enfants ne subissent jamais
La débâcle vécue par les pieds noirs Français
Le livre a peut-être été refermé, mais son histoire
Est restée gravée dans ma mémoire.



Un Français déraciné

André Agostini.
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MessageSujet: la France Algérienne ? ?   MEMOIRE BRULANTE de la GUERRE d'ALGERIE EmptySam 11 Fév 2012 - 16:08

FOUQUET66 a écrit:
J'ai lu ce que notre camarade Cherchellien-CMP Jean-Marie CHASTEL avait adressé à Claude Millet et je pense que le poëme d'André Agostini a bien sa place ici :

Mémoire et Poésie


Jadis j’ai dû m’enfuir de mon pays
Quand la France décida de lâcher l’Algérie
Et si avec le temps les plaies se sont fermées
Leurs cicatrices, elles, ne peuvent s’effacer.
Aussi pour mes enfants, je demande au Messie
Que jamais ils ne vivent une pareille tragédie.

Pourtant, lorsque je vois ces hordes de Magrébins
Envahir notre sol par n’importe quel moyen
Pour venir y chercher toute cette assistance
Qui n’existe plus chez eux depuis l’indépendance,
Quand je vois qu’ils acquièrent cette nationalité
Qu’ils ont pourtant reniée il y a quelques années

Je me pose une question qui me met mal à l’aise,
Combien de temps encore la France sera Française ?
Ils occupent tour à tour l’ensemble des quartiers
Où la police alors n’a plus le droit d’entrer,
Bien vite ils les transforment en ces fameux ghettos
Où ils pillent les commerces et brulent les autos.

Marseille est devenu une base d’Al-Qaïda
Et notre canebière le souk d’une casbah.
La banlieue parisienne n’est pas plus épargnée
Partout règne le racket et l’insécurité.
Les seuls européens qui s’obstinent à rester
Doivent se barricader sitôt la nuit tombée.
Des cités toutes entières leurs sont abandonnées
Dans l’attente qu’ils obtiennent les clefs de l’Élysée.

Lorsque notre président, en quête de bulletins
Va leur rendre visite, la veille des scrutins
Ils bousculent sa voiture et crachent sur son costume
Et l’obligent à partir plus vite que de coutume.
Ils sifflent la Marseillaise au match de l’amitié
Et brandissent les drapeaux du pays invité.

Elles se coiffent du foulard, ils portent la barbouze
Et pavoisent leur logis aux couleurs des fellouzes
Depuis quelques années ils sembleraient vouloir
Que la France se décide à réécrire l’histoire.
On enseigne pour se faire à notre descendance
Que les pieds-noirs étaient des colons de la France

Qu’ils n’avaient pas de cœur et usaient d’un gourdin
Pour payer les salaires de chaque Magrébin.
Aujourd’hui les médias demandent à nos élus
Qu’une enquête soit faite sur ces moments vécus
Pour voir si notre armée a commis des bavures
Et condamner ceux qui pratiquaient la torture

Pour que ces terroristes veuillent leur divulguer
La liste des attentats qu’ils devaient perpétrer.
Vouloir faire des victimes de nos ex-assassins
C’est en sorte approuver les crimes et les larcins
Qu’ils ont commis jadis sur ces gens innocents
Qui voulaient conserver la terre de leurs parents.

Somme-nous tous amnésiques pour avoir oublié
Combien les F.L.N. ont fait d’atrocités ?
Serions-nous insensibles à tous ces attentats ?
Qui ont été commis par ces vils fellaghas
Et devons-nous ce jour, pour des raisons d’état
Pardonner les tueries de leur chef Ben Bella !

La bombe de la Corniche, ou celle du Milk Bar
Et ces assassinats empreints d’actes barbares
Ces femmes étripées aux ventres empierrés
Tout près de leur fœtus qui était empalé.
Ces milliers de Harkis qui furent assassinés
Sur la place publique sans le moindre procès

Trahis et délaissés par le chef de la France.
Ils ont subi la mort dans d’atroces souffrances.
Ils furent même désarmés avant l’indépendance
Afin qu’ils n’opposent pas la moindre résistance
Aux couteaux des tueurs qui étaient impatients
De pouvoir leur donner le suprême châtiment.

Aurions-nous oublié la date du 5 Juillet 1962
Et les massacres commis après le cessez le feu ?
Ces centaines d’Oranais qui furent exécutés
Devant l’armée française restée les bras croisés !
En France, dans nos écoles, aucun livre d’histoire
Relate ces évènements vécus par les pieds noirs

On transforme le passé à la gloire des vainqueurs
Qui deviennent des martyrs à la place des tueurs
Oublier notre passé ou même le transformer
Serait une grave erreur qu’on pourrait regretter
Ne baissons pas la garde, redoublons de méfiance
Si nous ne voulons pas connaitre un jour en France

Une prochaine débâcle vers d’autres horizons
Ou vouloir accepter de changer de religion.
Ben Bella l’avait dit, après la prise d’Alger
« Nous devons remonter en France jusqu’à Poitiers ».
Hélas cette latitude est maintenant dépassée
Puisqu’aucun coin d’Europe ne se trouve épargné !

A moins d’un revirement rapide et énergique
La France deviendra vite république islamique
Par le nombre des naissances ils auront l’avantage
Qui leur fera gagner l’ensemble des suffrages
Ainsi sera mis fin à notre démocraties
Et la France à son tour deviendra colonie.

Alors sera troqué l’angélus des clochers
Par l’appel des imams en haut des minarets
Dès lors, pour survivre, de même que nos aïeuls,
Nous aurons à choisir « la valise ou l’cercueil »
Les exemples sont nombreux et faciles à citer
Sur toute la planète, nombreux sont les foyers

Où des familles entières furent exterminées
Pour le simple prétexte qu’elles avaient refusé
D’accepter les contraintes de ces jeunes républiques
Qui instaurent par la force la charia islamique.
Aussi la prochaine fois, lorsque vous serez appelés
Pour vous rendre aux urnes afin d’aller voter
Devenez l’électeur d’un second Charles Martel
Qui renverra chez eux, au fond de leur djébel

Ceux qui viennent chez nous pour y défier la France
En réclamant sans cesse encore plus d’assistance
Afin que vos enfants ne subissent jamais
La débâcle vécue par les pieds noirs Français
Le livre a peut-être été refermé, mais son histoire
Est restée gravée dans ma mémoire.


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Merci ! LA LÉGION
J'en pleure de rage et d'amertume... Quelle tristesse !
Jacky Alaux
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MessageSujet: Re: MEMOIRE BRULANTE de la GUERRE d'ALGERIE   MEMOIRE BRULANTE de la GUERRE d'ALGERIE EmptySam 11 Fév 2012 - 17:56

jacky alaux a écrit:

Merci ! LA LÉGION
J'en pleure de rage et d'amertume... Quelle tristesse !
Jacky Alaux

Bonjour Jacky.
Tu n'est pas le seul à pleurer de rage et d'amertume en lisant ce poème !
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